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Les charleries Bienvenue sur mon blogue, Ce blogue contient des souvenirs, des anecdotes, des opinions, de la fiction, des bribes d’histoire, des récréations et des documents d’archives. Charles-É. Jean
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Généalogie |
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1475
9 janvier 2015 Louis
Hébert (1575-1627) Quand
j’étais à la petite école, j’aimais bien quand l’institutrice
nous parlait de Louis Hébert. Elle nous le présentait comme le premier
défricheur de la Nouvelle-France et, en plus, il était apothicaire.
J’ai encore en mémoire des images de Louis Hébert bêchant son
jardin à la main et se penchant pour semer des légumes. Je le voyais
accompagné de son épouse, Marie Rollet vêtue d’une longue robe de
couleur foncée. Marie Rollet était un nom qui sonnait comme de la poésie
à mes oreilles. De
fait, Louis Hébert fut le premier pionnier français du Canada. Dès
1606, il fit un premier séjour en Acadie sans sa famille. Il y
rencontra Samuel de Champlain. Dès l’année suivante, le chef de
l’expédition perdit son monopole et tous durent rentrer en France. En
1610, une deuxième expédition ramena Louis Hébert en Acadie. Trois
ans plus tard, la petite colonie fut attaquée par les Anglais. Louis Hébert
fut fait prisonnier et dut se résigner à retourner en France. En
1617, sous l’instigation de Samuel de Champlain, il vint s’établir
à Québec avec son épouse et ses trois enfants. Tout en exerçant son
métier d’apothicaire, il entreprit de défricher la terre sans bœuf
ni charrue. Il devint, en 1625, le premier propriétaire de terres
agricoles en Nouvelle-France. En vain, il demandait une charrue, mais la
Compagnie des marchands qui était
là pour faire la traite des fourrures, lui refusait car elle ne voyait
pas d’intérêts pécuniaires au défrichement. Avant 1634, avec son
gendre Guillaume Couillard, ils furent les seuls à être propriétaires
d’une maison. Louis
Hébert est un de mes ancêtres. Voici une lignée avec la date et le
lieu de leur mariage : 1.
Louis HÉBERT et Marie ROLLET (1602 à Paris) 2.
Guillaume HÉBERT et Hélène DESPORTES (1634 à Québec) 3.
Françoise HÉBERT et Guillaume FOURNIER (1651 à Québec) 4.
Jacquette FOURNIER et Jean PROULX (1673 à Québec) 5.
Angélique PROULX et Jean-François THIBAULT (1705 à Montmagny) 6.
Félicité THIBAULT et Jean-Baptiste VAILLANCOURT (1734 à
l’Islet-sur-Mer) 7.
Claire VAILLANCOURT et André MORIN (1753 à Montmagny) 8.
Marie-Claire MORIN et Antoine OUELLET (1777 à La Pocatière) 9.
Jean-François OUELLET et Françoise D’AMOURS (1803 à l’Isle-Verte) 10.
Jean-Baptiste OUELLET et Véronique RIOUX (1828 à Trois-Pistoles) 11.
Étienne OUELLET et Rachel LÉVESQUE (1856 à Trois-Pistoles) 12.
François OUELLET et Vitaline GRAVEL (1878 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 13.
Marie-Luce OUELLET et Émile THÉBERGE (1905 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 14.
Marie-Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 15.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. Si on se fie aux lieux de mariage, on voit très bien que la migration se faisait graduellement vers l’est. Je suis de la 15e génération du couple Louis Hébert et de Marie Rollet. |
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1445
3 janvier 2015 René
Plourde (1665-1708) René Plourde est un de mes ancêtres. Voici une lignée avec la date et le lieu du mariage : 1.
René PLOURDE et Jeanne-Marguerite BÉRUBÉ (1697 à Rivière-Ouelle) 2.
Pierre PLOURDE et Marie-Ursule LÉVESQUE (1728 à Rivière-Ouelle) 3.
Pierre-François PLOURDE et Louise-Josèphe HUDON (1757 à Rivière-Ouelle) 4.
Jean-Clément PLOURDE et Françoise D’AMOURS (1787 à Trois-Pistoles) 5.
Véronique PLOURDE et Michel JEAN (1818 à Trois-Pistoles) 6.
Melchior JEAN et Élisabeth DIONNE (1844 à Saint-Denis de
Kamouraska) 7.
Théophile JEAN et Élise BOUCHER (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 8.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 9.
Mes frères et sœurs dont je suis. Je
suis de la neuvième génération du couple René Plourde et
Jeanne-Marguerite Bérubé. Ci-dessous
la liste des familles Plourde de Saint-Mathieu dont le mariage a eu lieu
de 1861 à 1930. Ces noms sont tirés de Naissances,
décès et mariage de la paroisse de St-Mathieu, d’Hélène Chénard.
L’année du mariage est mentionnée. Venant
Plourde et Mathilde Lavoie (1861) Luc
Plourde et Sara Bérubé (1876) Joseph
Plourde et Eugénie Chamberland (1879) Bernard
Plourde et Octavie Dionne (1880) Cyprien
Plourde et Symphrose Gauvin (1884) Joseph
Plourde et Victoria Lévesque (1884) Wilfrid
Plourde et Adèle Rousseau (1890) Émile
Plourde et Caroline Rousseau (1912) Cyprien
Plourde* et Aurore Théberge (1913) Vézina
Plourde et Éva Plourde (1913) Amédée
Plourde et Léda Dionne (1916) Émile
Plourde et Clara Baribeau (1918) Cyprien
Plourde* et Marie Gagné (1919) Charles
Plourde et Marie-Rose Gagné (1921) Léo
Plourde et Émilienne Vaillancourt (1930) *
Il s’agit du même homme. |
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1415
28 décembre 2014 Mon
ancêtre Gravel Les
Gravel d’Amérique ont un ancêtre unique. Il s’agit de Joseph
Gravel qui associa Macé ou Masse à son prénom de baptême, du nom de
sa mère. Certains prétendent qu’il serait arrivé en Nouvelle-France
dans la première vague de colonisation en 1634. D’autres pensent plutôt
qu’il accompagnait Pierre de Maisonneuve en 1641. Le
couple Gravel-Tavernier a eu 12 enfants dont deux couples de jumeaux :
ce qui était une première en Nouvelle-France. Ce sont Marguerite et Élisabeth
Gravel, nées en avril 1651, puis Claude et Joseph Gravel, nés en février
1662. Joseph
Gravel est un de mes ancêtres. Voici une lignée avec la date et le
lieu de leur mariage : 1.
Joseph-Masse GRAVEL et Marguerite TAVERNIER (1644 à Québec) 2.
Claude GRAVEL et Jeanne CLOUTIER (1687 à
Château-Richer) 3.
Pierre GRAVEL et Marguerite PRIEUR (1721 à Château-Richer) 4.
Pierre GRAVEL et Marie-Anne BUREAU (1746 à Château-Richer) 5.
Charles GRAVEL et Geneviève SIMARD (1792 à Tadoussac) 6.
Thomas GRAVEL et Luce AUDET (1831 aux Éboulements) 7.
Vitaline GRAVEL et François OUELLET (1878 à Saint-Mathieu) 8.
Marie-Luce OUELLET et Émile THÉBERGE (1905 à Saint-Mathieu) 9.
Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu) 10.
Mes frères et sœurs dont je suis. Mon
arrière-grand-mère du côté de ma mère était Vitaline Gravel. Un de
ses frères, le révérend Thomas Gravel, fut curé de
Saint-Mathieu-de-Rioux, de 1877 à 1883. Par ailleurs, dans l’article 1060, j’ai montré qu’un couple d’ancêtres de la romancière Gabrielle Roy était Claude Gravel et Jeanne Cloutier de la deuxième génération des Gravel de la lignée ci-haut. |
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1375
20 décembre 2014 Jean
Gauvin (1643-1736) Jean
Gauvin est le premier défricheur de la Nouvelle-France du nom de
Gauvin. Il est d’ailleurs l’ancêtre des Gauvin d’Amérique. Il
est né à Croix-Chapeau en France en 1643 de Louis Gauvin et d’Anne Lépine.
Il a épousé Anne Magnan en 1665 à Québec. Il est décédé en 1706
à l’Ancienne-Lorette. Jean
Gauvin est un de mes ancêtres. Voici une lignée avec la date et le
lieu du mariage : 1.
Jean GAUVIN et Anne MAGNAN (1665 à Québec) 2.
Jacques GAUVIN et Marie-Louise SAINT-PIERRE (1712 à Rivière-Ouelle) 3.
Charles-François GAUVIN et Françoise DUBÉ (1751 à
Saint-Roch-des-Aulnaies) 4.
Marie-Josephte GAUVIN et François-Régis JEAN (1778 à
Saint-Jean-Port-Joli) 5.
Michel JEAN et Véronique PLOURDE (1818 à Trois-Pistoles) 6.
Melchior JEAN et Élisabeth DIONNE (1844 à Saint-Denis de Kamouraska) 7.
Théophile JEAN et Élise BOUCHER (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 8.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 9.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. Hélène
Chénard, dans son répertoire des mariages de Saint-Mathieu-de-Rioux, a
recensé un seul Gauvin ayant vécu dans cette paroisse. Il s’agit
d’Émile Gauvin qui a épousé Clarina Dionne en 1916. Émile Gauvin
est né le 27 février 1893 à Saint-Simon du couple Émilien Gauvin et
Zelma Fortin. Il est décédé à Saint-Simon en 1972 à l’âge de 79
ans. Clarina Dionne est née le 6 janvier 1893 à Saint-Mathieu du
couple Ernest Dionne et Odila Vaillancourt. Elle est décédée à
Trois-Pistoles en 1997 à l’âge de 104 ans. Par
ailleurs, le curé de Saint-Mathieu de 1931 à 1937 fut l’abbé Joseph
Gauvin. Trois de ses frères furent élevés à la prêtrise :
Jean-Baptiste Gauvin, Stanislas Gauvin et André-Albert Gauvin. |
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1335
12 décembre 2014 Jack
Kerouac (1922-1969) J’avoue
connaître très peu Jack Kerouac si ce n’est que de nom. Pourtant, il
est considéré comme l’un des écrivains et poètes américains les
plus importants du 20e siècle. Il
est né à Lowell au Massachusetts en 1922. Son père est Léo-Alcide
Kirouac et sa mère Gabrielle-Ange Lévesque, deux québécois. Son père
est né à Saint-Hubert de Rivière-du-Loup et sa mère à Saint-Pacôme
de Kamouraska. Cette dernière était une cousine issue de germains de
René Lévesque, l’ex premier ministre du Québec. Ses ancêtres sont
donc québécois. Son
père qui était imprimeur a modifié son patronyme pour Kerouac à son
arrivée aux États-Unis. Dans son enfance, Jack Kerouac, de son vrai
nom Jean-Louis Kirouac, ne parlait que français. C’était donc sa
langue maternelle. À neuf ans, il fréquenta une école anglophone et y
apprit difficilement l’anglais. Il deviendra bilingue à 15 ans. Malgré
sa vie d’adulte mouvementée ponctuée par la drogue, il a écrit une
vingtaine de romans et une vingtaine d’essais comprenant des poèmes
et de la correspondance. Un
de ses ancêtres québécois qui est commun avec les miens est Jean
Dionne. Voici une lignée avec la date et le lieu du mariage :
Je
donne maintenant la lignée où Jean Dionne et Marie-Charlotte Migneault
sont mes ancêtres. 1.
Jean DIONNE et Marie-Charlotte MIGNEAULT (1694 à Château-Richer) 2.
Jean-Baptiste DIONNE et Marie-Madeleine MICHAUD (1727) 3.
Augustin DIONNE et Marie-Louise PLOURDE (1765 à Rivière-Ouelle) 4.
Jean-Baptiste DIONNE et Marie-Anne BOUCHER (1821 à Rivière-Ouelle) 5.
Élisabeth DIONNE et Melchior JEAN (1844 à Saint-Denis de Kamouraska) 6.
Théophile JEAN et Élise BOUCHER (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 7.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 8.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. Les
parents de la mère de Jack Kerouac, Gabrielle-Ange Lévesque étaient
Louis Lévesque et Joséphine Jean qui se sont marié à Nashua au New
Hampshire (USA) en 1894. Je n’ai pas pu retracer les ancêtres de Joséphine
Jean. On peut penser que son premier ancêtre québécois était Vivien
Jean puisque, selon les généalogistes, il est l’ancêtre de tous les
Jean d’Amérique. |
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1300
5 décembre 2014 La
Poune (1903-1996) Connue
sous le nom de scène La Poune, Rose Ouellette fut comédienne, auteure,
interprète et humoriste. Elle a commencé sa carrière à 12 ans avec
le père d’Olivier Guimond. Elle a consacré sa vie à faire rire les
gens, son public qu’elle aimait tant. Cette actrice burlesque fut la
première femme à avoir dirigé deux théâtres en Amérique du Nord. Elle
a publié deux livres : Vous faire rire, c'est ma vie, chez Québecor en 1983 et Comment
atteindre le bel âge en grande forme aux Éditions à succès en
1985. Sa contribution à la scène québécoise, en tant que pionnière
du théâtre burlesque et de la comédie, a été récompensée. En
1983, elle reçut le Prix Félix lors du gala de l’ADISQ. En 1990,
elle a été faite chevalière de l’Ordre national du Québec. En
1991, le Festival Juste pour Rire lui décerna le prix Victor. Montréal
l’a honorée en baptisant une rue à son nom. Rose
est née en 1903 du barbier François Ouellette et de Joséphine Lasanté.
Cette dernière a porté 21 enfants dont seulement quatre se rendirent
à l’âge adulte. Ci-après,
je vous présente une lignée qui remonte à René Ouellet, l’ancêtre
direct de ma grand-mère maternelle, Marie-Luce Ouellet. La date et le
lieu de mariage sont donnés. 1.
René OUELLET et Anne RIVET (1666 à Québec) 2.
Mathurin OUELLET et Angélique LEBEL (1691 à Rivière-Ouelle) 3.
Alexis OUELLET et Catherine MOREAU (1732 à Kamouraska) 4.
Jean-Baptiste OUELLET et Madeleine MIGNEAULT (1759 à Kamouraska) 5.
Louis OUELLET et Geneviève PERRON (1801 à Saint-Hyacinthe) 6.
Édouard OUELLET et Marguerite ARCAND (1830 à Iberville) 7.
Jean-Chrysostome OUELLET et Mélina HUET (1864 à Montréal) 8.
François OUELLETTE et Joséphine LASANTÉ (1888 à Montréal) 9.
Rose OUELLETTE Dans
cette lignée, le premier ancêtre commun que j’ai avec La Poune est
René Ouellet. Ce dernier fut un des premiers colons de Rivière-Ouelle
et un pionnier de Sainte-Anne de la Pocatière. Il est de plus l’ancêtre
des familles Ouellet d’Amérique. Il n’a pas hésité en 1690, avec
ses trois fils dont Mathurin ci-haut nommé, à défendre Rivière-Ouelle
pour contrer l’invasion des Anglais. Je
suis de la 11e génération du couple René Ouellet et Anne
Rivet. Rose Ouellette est de la 9e génération. Dans cette
lignée, elle est ma petite cousine du 9 au 11. |
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1265
28 novembre 2014 René
Lévesque (3) À
l’article 1190, j’ai montré que Robert
Lévesque et Jeanne-Marguerite Chevalier étaient mes ancêtres et ceux
de René Lévesque. À l’article 1230, j’ai
montré que Jean Dionne et Marie-Charlotte Migneault sont aussi nos ancêtres
communs. Aujourd’hui, j’explique que Jean-Galleran Boucher et Marie
Leclerc le sont aussi. Voici
deux lignées de l’ancien premier ministre dont les ancêtres sont
Jean-Galleran Boucher et Marie Leclerc avec la date et le lieu de leur
mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Pierre BOUCHER et Marie-Anne MICHAUD (1695 à Rivière-Ouelle) 3.
Marie-Anne BOUCHER et Charles-François MARQUIS (1724) 4.
Joseph-Marie MARQUIS et Françoise CÔTÉ (1752 à Trois-Pistoles) 5.
Philippe MARQUIS et Salomée GRANT (1796 à Saint-André de Kamouraska) 6.
Anselme MARQUIS et Radegonde ROY (1828 à Saint-Louis de Kamouraska) 7.
Caroline-Catherine MARQUIS et Alexandre HAMEL (1858 à Matane) 8.
Alice HAMEL et Médéric DIONNE (1895 à Chicoutimi) 9.
Diane DIONNE et Dominique LÉVESQUE (1920
à Rivière-du-Loup) 10.
René LÉVESQUE 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Marie-Madeleine BOUCHER et Jean-François LAVOIE (1688 à Rivière-Ouelle) 3.
Marguerite LAVOIE et Louis-Philippe SARGENT (1718 à Rivière-Ouelle) 4.
Madeleine LANGLAIS et Joseph HUDON (1742 à Rivière-Ouelle) 5.
Julien-Barthélémy HUDON et Louise LÉVESQUE (1774 à Rivière-Ouelle) 6.
Louise Hudon et Charles D’AUTEUIL (1794 à
Rivière-Ouelle) 7.
Élisabeth D’AUTEUIL et Zacharie LÉVESQUE (1812 à Rivière-Ouelle) 8.
Dominique LÉVESQUE et Marcelline PEARSON (1845 à Rivière-Ouelle) 9.
Zacharie LÉVESQUE et Célina LÉVESQUE (1879 à Saint-Pacôme) 10.
Dominique LÉVESQUE et Diane DIONNE (1920 à Rivière-du-Loup) 11.
René LÉVESQUE Je
donne maintenant la lignée où Jean-Galleran Boucher et Marie Leclerc
sont mes ancêtres. 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Philippe BOUCHER et Marie-Anne MIGNIER (1693 à Rivière-Ouelle) 3.
Pierre BOUCHER et Marie-Madeleine CARON (1738 à l’Islet-sur-Mer) 4.
Isidore BOUCHER et Pélagie THIBAULT (1788 à Rivière-Ouelle) 5.
Isidore BOUCHER et Marie-Anne DARGENCOURT (1807 à Rivière-Ouelle) 6.
Octave BOUCHER et Adélaïde DUMONT (1854 à Saint-André de Kamouraska 7.
Élise BOUCHER et Théophile JEAN (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 8.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 9.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. |
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1230
21 novembre 2014 René
Lévesque (2) À
l’article 1190, j’ai montré que Robert
Lévesque et Jeanne-Marguerite Chevalier étaient mes ancêtres et ceux
de René Lévesque. Aujourd’hui, j’explique que Jean Dionne et
Marie-Charlotte Migneault sont aussi nos ancêtres communs. Voici
une lignée de l’ancien premier ministre avec la date et le lieu de
leur mariage : 1.
Jean DIONNE et Marie-Charlotte MIGNEAULT (1694 à Château-Richer) 2.
Augustin DIONNE et Marie-Angélique MOREAU (1729 à Kamouraska) 3.
Germain DIONNE et Marie-Louise BERNIER (1754 à Cap-Saint-Ignace) 4.
Pierre-Antoine DIONNE et Charlotte PELLETIER (1804 à
Saint-Roch-des-Aulnaies) 5.
Charles-François DIONNE et Henriette NOËL (1836 à
Saint-Antoine-de-Tilly) 6.
Charles DIONNE et Rosalie BOUCHER (1866 à Saint-Antoine-de-Tilly) 7.
Médéric DIONNE et Alice HAMEL (1895 à Chicoutimi) 8.
Diane DIONNE et Dominique LÉVESQUE (1920
à Rivière-du-Loup) 9.
René LÉVESQUE 1.
Jean DIONNE et Marie-Charlotte MIGNEAULT (1694 à Château-Richer) 2.
Jean-Baptiste DIONNE et Marie-Madeleine MICHAUD (1727) 3.
Augustin DIONNE et Marie-Louise PLOURDE (1765 à Rivière-Ouelle) 4.
Jean-Baptiste DIONNE et Marie-Anne BOUCHER (1821 à Rivière-Ouelle) 5.
Élisabeth DIONNE et Melchior JEAN (1844 à Saint-Denis de Kamouraska) 6.
Théophile JEAN et Élise BOUCHER (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 7.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 8.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. |
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1190
13 novembre 2014 René
Lévesque (1922-1987) René
Lévesque est une des personnalités québécoises les plus marquantes
des 50 dernières années. Alors que les politiciens contemporains ont
de la difficulté à maintenir la confiance des électeurs à leur égard,
il a su inspirer le peuple et tenir un langage qu’il comprenait et
appréciait. Son règne de premier ministre (1976-1985) a été marqué
par certaines lois qui ont marqué le Québec. Sa défaite au référendum
de 1980 aurait pu le déclasser ; mais non. Ses
origines modestes, sa tenue débraillée, son empathie proverbiale
l’ont maintenu, malgré ses frasques, à un haut niveau de considération.
Il a su réveiller le nationalisme québécois qui sommeillait dans
beaucoup de gens. Il a été un rempart contre le bras anglais qui,
pendant des siècles, avait voulu assujettir les francophones. Ceux-ci
avaient fini par croire qu’ils étaient des porteurs d’eau. En un
mot, il a su alimenter la fierté québécoise. Robert
Lévesque et Jeanne-Marguerite Chevalier sont mes ancêtres et ceux de
de René Lévesque en ligne directe. Voici la lignée Lévesque de
l’ancien premier ministre avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Robert LÉVESQUE et Jeanne-Marguerite CHEVALIER (1679 à L'Ange-Gardien) 2.
François-Robert LÉVESQUE et Marie-Charlotte AUBERT (1701 à Rivière-Ouelle) 3.
Dominique LÉVESQUE et Dorothée BÉRUBÉ (1745 à Rivière-Ouelle) 4.
Dominique LÉVESQUE et Angélique PELLETIER (1781 à
St-Roch-des-Aulnaies) 5.
Zacharie LÉVESQUE et Élisabeth DAUTEUIL (1812 à Rivière-Ouelle) 6.
Dominique LÉVESQUE et Marcelline PEARSON (1845 à Rivière-Ouelle) 7.
Zacharie LÉVESQUE et Célina LÉVESQUE (1879 à St-Pacôme) 8.
Dominique LÉVESQUE et Diane DIONNE (1920 à Rivière-du-Loup) 9.
René LÉVESQUE 1.
Robert LÉVESQUE et Jeanne-Marguerite CHEVALIER (1679
à L'Ange-Gardien) 2.
Joseph LÉVESQUE et Marie-Angélique MENEU (1704 à Rivière-Ouelle) 3.
Jean-Baptiste LÉVESQUE et Marie-Marthe MICHON (1753 à Montmagny) 4.
Ignace LÉVESQUE et Geneviève LAPLANTE (1790 à Saint-Louis de
Kamouraska) 5.
François LÉVESQUE et Geneviève CÔTÉ (1821 à Trois-Pistoles) 6.
Rachel LÉVESQUE et Étienne OUELLET (1856 à Trois-Pistoles) 7.
François OUELLET et Vitaline GRAVEL (1878 à Saint-Mathieu) 8.
Marie-Luce OUELLET et Émile THÉBERGE (1905 à Saint-Mathieu) 9.
Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu) 10.
Mes frères et sœurs dont je suis |
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1145
3 novembre 2014 Noël
Langlois (1606-1684) Les
premiers colonisateurs du Québec sont arrivés en 1634 sous la gouverne
de Robert Giffard, premier seigneur colonisateur de la Nouvelle-France.
Parmi la trentaine de colons venus de Perche, outre Noël Langlois,
capitaine de navire, on retrouve Zacharie Cloutier, maître-charpentier,
Robert Drouin, tullier, Jean Guyon, maître-maçon, Gaspard Boucher et
son frère Marin, Jean Juchereau et Thomas Giroux. Un
mois après son arrivée, Noël Langlois épouse François Grenier qui
avait voyagé sur le même bateau que lui.
Le couple se fixe à Beauport et aura 10 enfants. Langlois occupe
une terre de 300 arpents en superficie que lui a concédée Robert
Giffard. Un de ses voisins est Zacharie Cloutier. Il est parfois appelé
à se prononcer, comme expert, pour
éviter les chicanes de clôtures. Dans
son livre, Michel Langlois écrit : « Au recensement de 1681,
il possède quatre fusils, un pistolet, un cheval, dix-sept bêtes à
cornes et trente arpents de terre en valeur. De plus, il a cédé
quarante arpents de sa terre en valeur à son fils Noël. Afin d'éviter
des chicanes entre ses enfants, il fait faire le partage de cette même
terre par le notaire Filion, en 1683 et, le 14 juin de la même année,
fait officiellement don de la moitié de cette terre à son fils Noël.
Il décède à Beauport, le 14 juillet 1684, et est inhumé le
lendemain. À l'acte de sépulture, avec raison, on le dit le plus
ancien habitant du pays. » Voici
une lignée qui remonte à Noël Langlois du côté de mon père avec
la date et le lieu de leur mariage : 1.
Noël LANGLOIS et Françoise GRENIER (1634 à Québec) 2.
Anne LANGLOIS et Jean PELLETIER (1649 à Beauport) 3.
Anne PELLETIER et Guillaume LIZOTTE (1670 à Québec) 4.
Noël LIZOTTE et Catherine MENEU (1702 à Rivière-Ouelle) 5.
Catherine LIZOTTE et Pierre BOUCHER (1726 à Rivière-Ouelle) 6.
François BOUCHER et Catherine HUDON
(1768 à Rivière-Ouelle) 7.
Marie-Anne BOUCHER et Jean-Baptiste DIONNE (1821 à Rivière-Ouelle) 8.
Élisabeth DIONNE et Melchior JEAN (1844 à Saint-Denis de Kamouraska) 9.
Théophile JEAN et Élise BOUCHER (1893 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 10.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 11.
Mes frères et mes sœurs dont je suis. Parmi les descendants de Noël Langlois, on retrouve de nombreuses personnalités connues dont Céline Dion, Madonna, le cardinal Marc Ouellet, Xavier Dolan, Angelina Jolie, Isabelle Boulay et Justin Bieber. |
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1105
26 octobre 2014 Jean
Guyon (1592-1663) Les
premiers défricheurs de la Nouvelle-France sont arrivés en 1634 sous
la gouverne de Robert Giffard, premier seigneur colonisateur. Parmi la
trentaine de colons venus de Perche, outre Jean Guyon, maître-maçon,
on retrouve Zacharie Cloutier, maître-charpentier, Robert Drouin,
tullier, Gaspard Boucher et son frère Marin, Jean Juchereau, Thomas
Giroux et Noël Langlois. En
1634, Jean Guyon obtient 1000 arpents de terre à Beauport en échange
de trois années de services en Nouvelle-France. Il traverse l’Atlantique
avec sa femme et son fils aussi prénommé Jean. Son épouse viendra le
rejoindre deux ans plus tard avec les sept autres enfants du couple. Voici
une lignée qui remonte à Jean Guyon du côté de ma mère avec la
date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean GUYON et Mathurine ROBIN (1616 à Mortagne-au-Perche) 2.
Simon GUYON et Louise RACINE (1653 à Québec) 3.
Marie GUYON et Guillaume THIBAULT (1681 à Château-Richer) 4.
Pierre THIBAULT et Agnès GRAVEL (1709 à Château-Richer) 5.
Angélique THIBAULT et Joseph BÉRUBÉ (1746 à Rivière-Ouelle) 6.
Pierre BÉRUBÉ et Catherine HUDON (1779 à Rivière-Ouelle) 7.
Joseph BÉRUBÉ et Adélaïde RIOUX (1821 à Trois-Pistoles) 8.
Euphrosine BÉRUBÉ et Vital ROUSSEAU (1848 à Trois-Pistoles) 9.
Rose ROUSSEAU et Alfred THÉBERGE (1878 à Saint-Mathieu) 10.
Émile THÉBERGE et Marie-Luce OUELLET (1905 à Saint-Mathieu) 11.
Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu) 12.
Mes frères et sœurs dont je suis Parmi les descendants de Jean Guyon, on retrouve de nombreuses personnalités connues dont Céline Dion, Stéphane Dion, Madonna, Hillary Clinton, Camilla Parker-Bowles, le cardinal Marc Ouellet et Xavier Dolan. |
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1060
17 octobre 2014 Gabrielle
Roy (1909 – 1983) Gabrielle
Roy est née le 22 mars 1909 à Saint-Boniface au Manitoba. Elle
enseigne quelques années dans les écoles rurales, puis se rend à
Paris et à Londres pour étudier l’art dramatique. En 1939, elle
vient s’installer au Montréal. En
1945, elle publie son premier roman Bonheur d’occasion. Elle y décrit la vie des habitants de
Saint-Henri, un quartier de la classe ouvrière de Montréal. C’est le
premier roman urbain de la littérature québécoise. Il a remporté de
nombreux prix. Elle
a écrit de nombreux ouvrages dont Rue Deschambault, Ces enfants
de ma vie, Cet été qui
chantait, Alexandre Chenevert,
La Petite Poule d’Eau, La
route d’Altamont, La
montagne secrète, La rivière
sans repos, lesquels j’ai eu le bonheur de lire. Certains de ses
ouvrages sont autobiographiques. Dans l’un, elle raconte comment elle
eut un choc en arrivant à l’école en première année.
L’institutrice, une francophone, était une amie de sa mère. Elle
venait souvent visiter la famille et elle parlait toujours en français.
Quand Gabrielle entra à l’école, la première parole de
l’institutrice fut de dire aux enfants qu’ici on parlait seulement
en anglais, tel que le stipulait le Gouvernement du Manitoba. Il
existe au moins deux lignées où on retrouve des ancêtres communs aux
miens. La première lignée est du côté de mon père et la seconde du
côté de ma mère. Voici la première lignée avec la date et lieu du
mariage : 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 3.
Marie-Anne BOUCHER et François DUVAL (1992 à Rivière-Ouelle) 4.
Augustin DUVAL et Geneviève LECLERC (1730 à L’Islet) 5.
Augustin DUVAL et Ursule TONDREAU (1764 à L’Islet-sur-Mer) 6.
Ursule DUVAL et Clément COULOMBE (1785 à L’Islet-sur-Mer) 7.
Suzanne COULOMBE et Thomas-François MORIN (1808 à L’Islet-sur-Mer) 8.
Marcelline MORIN et Charles ROY (1840 à Saint-Isidore-de-Lauzon) 9.
Léon ROY et Mélina LANDRY (1886 à Saint-Léon, Manitoba) 10.
Gabrielle ROY Je
suis de la 9e génération de Jean-Galleran Boucher. Dans
cette lignée, Gabrielle Roy y est ma petite cousine du 9 au 10. Voici
la seconde lignée avec la date et lieu du mariage : 1.
Zacharie CLOUTIER et Xainte DUPONT (1616 en France) 2.
Charles CLOUTIER et Louise MORIN (1659 à Québec) 3.
Jeanne CLOUTIER et Claude GRAVEL (1687 à Château-Richer) 4.
Ignace GRAVEL et Madeleine BRANCONNIER (1737 à Château-Richer) 5.
Madeleine GRAVEL et Guillaume ROY (1764 à Saint-Étienne-de-Beaumont) 6.
Jean ROY et Françoise DALLAIRE (1795 à Saint-Étienne-de-Beaumont) 7.
Charles ROY et Marcelline MORIN (1840 à Saint-Isidore-de-Lauzon) 8.
Léon ROY et Mélina LANDRY (1886 à Saint-Léon, Manitoba) 9.
Gabrielle ROY Je
suis de la 12e génération de Zacharie Cloutier du côté de
ma mère. Dans cette lignée, Gabrielle Roy y est ma petite cousine du 9
au 12. Gabrielle
Roy est décédée le 13 juillet 1983 à Québec à l’âge de 74 ans.
La ville de Québec a honoré sa mémoire en donnant son nom à la
bibliothèque municipale. |
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1010
7 octobre 2014 Gilles
Latulippe (1937 - 2014) Gilles
Latulippe est un personnage bien connu au Québec. Dès la fin des années
1950, il se consacra au théâtre. Son premier rôle fut d’incarner le
frère Nolasque dans Bousille et
les justes de Gratien Gélinas. Il
a élevé à un haut rang le théâtre burlesque qui était alors le
divertissement le plus prisé par la population, notamment dans les
cabarets de Montréal. Il a maintenu ce théâtre d’un comique
extravagant et parfois bouffon en ouvrant son propre théâtre le Théâtre
des Variétés où cet art fut présenté avec brio pendant 33 ans dans
des salles pleines. Il
savait raconter des histoires comme pas un. D’ailleurs, dès son
enfance, il avait hâte d’aller à l’école pour pouvoir apprendre
à écrire, désirant par là pouvoir noter les blagues qu’il créait
ou adaptait. Il a écrit des livres où il a pu publier une partie de
son répertoire de blagues. Gilles
Latulippe fit des centaines d’apparitions à la télévision comme comédien
dans des séries populaires dont Symphorien. Il anima aussi une émission mémorable de variétés Les
démons du midi. J’ai
au moins une ascendance commune avec le roi du burlesque. Elle est
double parce que les parents du couple de la deuxième génération
sont tous quatre mes ancêtres. Voici les ancêtres de Gilles
Latulippe de cette lignée avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Zacharie CLOUTIER et Sainte DUPONT (1616 à Mortagne-au-Perche) /
Abraham MARTIN et Marguerite LANGLOIS (1615 en France) 2.
Jean CLOUTIER et Marie MARTIN (1648 à Québec) 3.
Jean CLOUTIER et Louise BÉLANGER (1679 à Château-Richer) 4.
Anne CLOUTIER et Nicolas MORISSET (1714 à Château-Richer) 5.
Nicolas MORISSET et Marie-Catherine BLAIS (1747 à Saint-Vallier de
Bellechasse) 6.
André MORISSET et Marie-Louise PÉPIN (1798 à Saint-Michel de
Bellechasse) 7.
Angélique MORISSET et Louis LATULIPPE (1831 à Saint-Anselme de
Bellechasse) 8.
Louis LATULIPPE et Geneviève GIRARD (1867 à Saint-Anselme de
Bellechasse) 9.
Joseph LATULIPPE et Emma LALIBERTÉ (1900 à Saint-Anselme de
Bellechasse) 10.
Eugène LATULIPPE et Blanche FOURNIER (1934 à Montréal) 11.
Gilles LATULIPPE Je suis un descendant de Zacharie Cloutier (article 738) et d’Abraham Martin (article 618). Gilles Latulippe a ces mêmes ancêtres. Il est donc mon petit cousin. |
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930
21 septembre 2014 Ludger
Ouellet (1862-1939) Mon
père, Edmond Jean, fut adopté en 1910 par le couple Ludger Ouellet et
Philomène Lévesque. Ludger avait 48 ans et Philomène avait 43 ans.
Ludger Ouellet et Philomène Lévesque se sont marié le 23 janvier 1883
à Saint-Mathieu. Ludger
Ouellet était le fils de Narcisse Ouellet qui a épousé Hortense Lagacé
le 24 novembre 1851 en l’église de Saint-Simon. Outre Ludger, le
couple eut 7 enfants : •
Desneiges, mariée à Joseph Michaud en 1874 •
Charles, marié à Marie Bérubé en 1875 •
Angèle, mariée à Timothée Ouellet en 1883 •
Édouard, marié à Gaudélie Chouinard en 1880 •
Amable (1867) •
Anaïs (1870) •
Anaïs (1873), mariée à Joseph Tardif en 1899 Philomène
Lévesque était la fille de Joseph Lévesque et de Sophie Paradis qui
se sont marié le 15 janvier 1861 en l’église de Saint-Simon. Outre
Philomène, le couple eut 5 enfants : •
Émilia (1861) •
Victoria (1865), marié à Joseph Plourde en 1884 •
Arzèle-Onésime (1868), mariée à Fabien Perreault en 1889 •
Joseph (1870) •
Louise-Emma (1871) Le
couple Luger Ouellet et Philomène Lévesque eut une seule fille, Emma
qui est née en 1885. Emma
a épousé Adélard Ouellet le 8 mai 1904 à Newmarket, état du New
Hampshire (USA). Elle avait 19 ans et Adélard en avait 23. Le couple
eut 7 enfants : •
Omer (1914), marié à Rose-Aimée Ouellet en 1934 •
Adrienne (1916), décédée à l’âge de 4 ans •
Rosaire (1917), décédée à l’âge de 10 ans •
Réal (1919), marié à Béatrice Dubé en 1939 •
Mathieu (1922), marié à Gracia Miville en 1942 •
Anonyme (1923) • Rita (1926), décédée à l’âge de 4 mois Adélard
est né le 14 avril 1881. Il était le fils d’Édouard Ouellet et de
Rosalie Chouinard qui se sont marié le 1 juin 1880 à Saint-Mathieu. Le
couple eut 16 enfants. Un frère d’Adélard, Arthur, se marie lui
aussi à Newmarket, mais en 1910. Une sœur, Rose-Délima, se marie à
Lowell au Massachusetts (USA). Un autre frère, Ludger, qui a le même
prénom que son grand-père a épousé en 1920 Claudia Caron, la fille
du maire Georges Caron et de Malvina Parent. De 1910 à 1932, mon père a vécu chez Ludger Ouellet avec les enfants d’Adélard. Il a donc été témoin des tribulations vécues par la famille suite à des maladies et des mortalités en bas âge. |
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# 885
12 septembre 2014 Lucien
Bouchard Lucien
Bouchard est né le 22 décembre 1938 au Lac-Saint-Jean. Il fut ministre
de l’Environnement dans le cabinet de Brian Mulroney. Il fut le
premier chef du Bloc québécois. Il participa activement aux débats du
référendum de 1995 sur la souveraineté du Québec. Le référendum
fut perdu par une légère marge notamment en raison des commandites du
Gouvernement fédéral et par une invasion canadian.
Bouchard devint premier ministre du Québec de 1996 à 2001. Il
existe au moins trois lignées où on retrouve des ancêtres communs aux
miens. Les deux premières lignées ont comme premier ancêtre Marin
Boucher qui était l’ascendant d’Élise Boucher, ma grand-mère
paternelle. La troisième lignée a comme premier ancêtre René Ouellet
qui était l’ascendant de Marie-Luce Ouellet, ma grand-mère
maternelle. Voici
la première lignée avec la date et lieu du mariage : 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 3.
Marie BOUCHER et François AUTIN (1688 à Rivière-Ouelle) 4.
Jean-François AUTIN et Françoise-Claire LEVASSEUR (1719) 5.
Catherine AUTIN et Louis HUDON (1747 à Kamouraska) 6.
Louis HUDON et Marie-Anne LEBEL (1774 à Kamouraska) 7.
Jean HUDON et Thècle MIVILLE (1813 à La Pocatière) 8.
Octave HUDON et Arthémise LABRIE (1850 à Kamouraska) 9.
Claudia HUDON et Théophile MARTEL (1877 à Saint-Jérôme, Lac
Saint-Jean) 10.
Lydia MARTEL et Joseph BOUCHARD (1901 à Métabetchouan) 11.
Philippe BOUCHARD et Alice SIMARD (1937 à Délisle, Lac Saint-Jean) 12.
Lucien BOUCHARD Voici
la deuxième lignée : 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Pierre BOUCHER et MARIE SAINT-DENIS (1663 à Château-Richer) 3.
Charles BOUCHER et Marie-Anne OUELLET (1704 à Rivière-Ouelle) 4.
Marie-Anne BOUCHER et Charles PELLETIER (1726 à La Pocatière) 5.
Jean-Baptiste PELLETIER et Geneviève TALBOT (1759 à Kamouraska) 6.
Josephte PELLETIER et Benoît MIVILLE (1782 à La Pocatière) 7.
Thècle MIVILLE et Jean HUDON (1813 à La Pocatière) 8.
Octave HUDON et Arthémise LABRIE (1850 à Kamouraska) 9.
Claudia HUDON et Théophile MARTEL (1877 à Saint-Jérôme, Lac
Saint-Jean) 10.
Lydia MARTEL et Joseph BOUCHARD (1901 à Métabetchouan) 11.
Philippe BOUCHARD et Alice SIMARD (1937 à Délisle, Lac Saint-Jean) 12.
Lucien BOUCHARD Voici
la troisième lignée : 1.
René OUELLET et Thérèse MIGNEAULT (1679 à Québec) 2.
Marie-Anne OUELLET et Charles BOUCHER (1704 à Rivière-Ouelle) 3.
Marie-Anne BOUCHER et Charles PELLETIER (1726 à La Pocatière) 4.
Jean-Baptiste PELLETIER et Geneviève TALBOT (1759 à Kamouraska) 5.
Josephte PELLETIER et Benoît MIVILLE (1782 à La Pocatière) 6.
Thècle MIVILLE et Jean HUDON (1813 à La Pocatière) 7.
Octave HUDON et Arthémise LABRIE (1850 à Kamouraska) 8.
Claudia HUDON et Théophile MARTEL (1877 à Saint-Jérôme, Lac
Saint-Jean) 9.
Lydia MARTEL et Joseph BOUCHARD (1901 à Métabetchouan) 10.
Philippe BOUCHARD et Alice SIMARD (1937 à Délisle, Lac Saint-Jean) 11.
Lucien BOUCHARD |
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#
852
4 septembre 2014 Illégitime
en Nouvelle-France Le
texte qui suit a été écrit par Claude Lavoie. Il a été publié dans
la chronique Histoire
de nos familles. «
Illégitime », « enfant naturel », « né de père inconnu », « bâtard
» sont des expressions que nous n'entendons plus aujourd'hui. Avec les
divorces, les unions libres et les familles reconstituées, les gens ne
portent plus attention à ce genre d'appellation. Pourtant,
dans les années 1950 et 1960, lorsqu'un enfant naissait hors des liens
du mariage, c'était un scandale et une honte pour la famille. Qui n'a
pas entendu une histoire au sujet d'une sœur ou d'une tante qui avait
beaucoup engraissé dans les derniers temps, qui était partie
travailler à l'extérieur pour quelques temps et qui était revenue
amaigrie, les traits tirés et toute pâle, l'air songeur et le regard
triste ... Et la fois où grand-mère est partie durant la nuit pour
aller porter l'enfant à la crèche pour que personne ne le sache dans
la paroisse ! Cela
existait aussi en Nouvelle-France, au début de la colonie. En faisant
la généalogie de la famille Lavoie, nous trouvons Marguerite de LaVoye,
la fille de Jean et de Madeleine Boucher, de Rivière-Ouelle, qui en
1714 donne naissance à une fille de père inconnu. Elle était âgée
de vingt ans. Dix ans plus tard, toujours à Rivière-Ouelle, Alexis de
LaVoye, le frère de Marguerite, épouse le 7 janvier 1724 Françoise
Dutarte, fille de Marguerite Bouchard et de François Dutarte. Cette même
Marguerite Bouchard dont le mari est retourné en France, depuis une
douzaine d'années, fait baptiser en 1704 un garçon qui a pour père
Guillaume Soucy. Enfin Anne Soucy, la sœur de Guillaume et veuve de
Jean Lebel, donne naissance à Thérèse en 1703. Comme vous le voyez,
ce genre de situation se répétait souvent. Les
gens mettent souvent ces femmes de côté et elles se marient rarement
dans leur paroisse. Souvent, leur mari est lui aussi quelqu'un qui a été
mis de côté par la population, pour toutes sortes de raisons. Ainsi,
Marguerite de LaVoye épousera le 4 janvier 1718 à Rivière-Ouelle
Louis Philippe Langlais, natif de la Nouvelle-Angleterre, qui avait été
enlevé par les Abénaquis et amené au gouverneur de la Nouvelle-France
au début de 1704. Anne Soucy se remarie avec Jacques Bois, évadé de
la prison de Montréal et condamné à être pendu. Les
enfants illégitimes eux-mêmes sont mis à part, car la coutume leur
interdit un droit à l'héritage et la plupart se marient aussi à l'extérieur
de leur paroisse d'origine. Mais
que faisaient ces filles avec leurs enfants naturels ? Certaines les
gardaient, comme l'ont fait Marguerite de LaVoye et Madeleine Bouchard ;
d'autres les abandonnaient car depuis 1556, une ordonnance du roi Henri
II stipulait que « toute fille ou veuve qui deviendrait enceinte et qui
ne ferait pas sa déclaration de grossesse, serait réputée infanticide
et punie de mort, si son enfant ne naissait point vivant ». Ce fut le
cas de Marie-Anne Sigouin, qui fut pendue à Québec en 1732. Des
données démographiques montrent que le phénomène des enfants nés
hors mariage n'était pas rare en Nouvelle-France : une naissance sur
cinquante était illégitime et autant d'enfants avaient été conçus
avant le mariage. (Fin du texte cité) |
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808
24 août 2014 Wilfrid
Laurier (1841-1919) Wilfrid
Laurier est né à Saint-Lin le 22 novembre 1841. Il fut le septième
premier ministre du Canada. Il a occupé ce poste pendant 15 ans, soit
de 1896 à 1911. Il fut le premier Québécois à remplir cette
fonction. Dans
son Manuel d’histoire de la littérature
canadienne de langue française, en 1947, Mgr Camille Roy écrit :
« Wilfrid Laurier fut chez nous le type classique et élégant de
l’orateur parlementaire. … On lui a souvent donné le surnom de
langue d’argent. … Cette éloquence était faite surtout de pensées
hautes et claires et des charmes de la diction. … La distinction de sa
personne, sa haute taille, élancée et gracieuse, la correction de ses
manières, le port noble de sa tête, l’expression fine de son visage,
l’harmonie de sa voix, la sobriété élégante de son geste,
contribuaient largement à l’autorité et au prestige de son éloquence. » Un
des ancêtres de Laurier fut Marin Boucher. Voici les ancêtres de
cette lignée avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1611 à Mortagne-au-Perche) 2.
François BOUCHER et Florence GAREMAN (1641 à Québec) 3.
Denis BOUCHER et Jeanne MIVILLE (1689 à Québec) 4.
Marie-Anne BOUCHER et Joseph MARTINEAU (1727 à Saint-Nicolas) 5.
Étienne MARTINEAU et Josephte-Geneviève DEMERS (1757 à Lévis) 6.
Henri MARTINEAU et Scholastique DESMARAIS (1804 à l’Assomption) 7.
Marcelle MARTINEAU et Carolus LAURIER (1834 à l’Assomption) 8.
Wilfrid LAURIER Je suis de la 10e génération de Marin Boucher. Laurier est de la 8e génération. Il est mon petit cousin du 8 au 10 dans cette lignée. |
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788
19 août 2014 Robert
Bourassa (1933-1996) Robert
Bourassa est né le 14 juillet 1933. Après ses études classiques au
Collège Brébeuf, il fut admis au Barreau du Québec en 1957. Il
fut élu député libéral de Mercier en 1966 et défait en 1976 par le
poète Gérald Godin. Il a été élu premier ministre en 1970 et perdit
le pouvoir en 1976 aux mains de René Lévesque, président du Parti québécois.
Sept ans après avoir quitté la politique, il revint comme chef du
Parti libéral en 1983. Il accéda de nouveau au poste de premier
ministre en 1985, poste qu’il a occupé jusqu’en 1994. Un
des ancêtres de Robert Bourassa est René Ouellet. Ce dernier fut un
des premiers colons de Rivière-Ouelle et l’ancêtre des familles
Ouellet d’Amérique. Je donne la lignée avec la date et le lieu du
mariage : 1.
René OUELLET et Anne RIVET (1666 à Québec) 2.
Joseph OUELLET et Reine MENEU (1700 à l’Île d’Orléans) 3.
Dorothée OUELLET et Joseph BOUCHARD (1727 à Kamouraska) 4.
Michel BOUCHARD et Véronique MIVILLE (1765 à Rivière-Ouelle) 5.
Théotiste BOUCHARD et Louis DAOUST (1794 à Pointe-Claire) 6.
François DAOUST et Josephte LEGAULT (1825 à Pointe-Claire) 7.
Euphémie DAOUST et Israël-Abraham COURVILLE (1856 à Pointe-Claire) 8.
Joseph COURVILLE et Éloïse GAGNON (1893 à Montréal) 9.
Adrienne COURVILLE et Aubert BOURASSA (1926 à Montréal) 10.
Robert BOURASSA Je
suis de la 11e génération de René
Ouellet. Robert Bourassa est de la 10e
génération. Il est donc mon petit cousin du 10 au 11. On notera que les premiers ancêtres de cette lignée sont partis de Québec vers le Bas-Saint-Laurent et qu’à partir de la 5e génération, les descendants se retrouvent à Montréal. |
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760
12 août 2014 Charles-Eugène
Parent (1902-1982) Charles-Eugène
Parent est né à Trois-Pistoles le 22 avril 1902. Le premier enfant de
la famille Louis-Philippe ne vécut que huit mois. Charles-Eugène fut
le deuxième enfant, en pratique l’aîné. En 1911, alors qu’il
avait neuf ans, son père vint s’établir à Saint-Mathieu où il prit
possession de la terre paternelle qu’il venait d’acquérir de son frère
Georges. Pendant sa petite école, ma mère a eu l’occasion de côtoyer
le jeune Charles-Eugène. Même
si Charles-Eugène Parent était né à Trois-Pistoles, il s’est
toujours proclamé un enfant de la paroisse de Saint-Mathieu-de-Rioux.
Je me souviens qu’ayant 9 ou 10 ans, j’avais assisté avec ma mère
à une assemblée Lacordaire. Il était l’orateur de la soirée et
avait proclamé son appartenance à Saint-Mathieu au grand plaisir de
l’assistance qui a démontré son enthousiasme par des
applaudissements nourris. Charles-Eugène
Parent fut ordonné prêtre le 7 mars 1925 alors qu’il n’avait pas
encore 23 ans. Il devint évêque auxiliaire du diocèse de Rimouski, le
11 mars 1944, puis archevêque de Rimouski le 2 mars 1951. Il démissionna
de son poste le 25 février 1967. Il est décédé le 2 juin 1982. Il
est toujours intéressant d’établir des liens de parenté avec un
personnage public. Plus encore intéressant quand on a eu l’occasion
de le rencontrer à un bon nombre d’occasions. J’ai découvert
plusieurs liens de parenté avec Mgr Charles-Eugène Parent. J’indique
deux lignées du côté de mon père et une autre du côté de ma mère.
Voici une première lignée d’ancêtres du côté de mon père
avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Pierre BOUCHER et Marie-Anne MICHAUD (1695 à Rivière-Ouelle) 3.
Marguerite BOUCHER et Gabriel PARENT (1754 à Kamouraska) 4.
Gabriel PARENT et Marie-Judith HUDON (1778 à Kamouraska) 5.
Louis-Amable PARENT et Marie-Anne NORMANDIN (1809 à Kamouraska) 6.
Louis PARENT et Louise-Élisabeth CÔTÉ (1844 à Trois-Pistoles) 7.
Louis PARENT et Marie LAVOIE (1900 à Trois-Pistoles) 8.
Charles-Eugène PARENT Je
suis de la neuvième génération de Jean-Galleran Boucher. Dans
cette lignée, Mgr Parent est de la huitième génération. Il y est
donc mon petit cousin du 8 au 9. Voici
une deuxième lignée d’ancêtres du côté de mon père : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Pierre BOUCHER et Marie-Anne MICHAUD (1695 à Rivière-Ouelle) 3.
Joseph BOUCHER et Geneviève AYOTTE (1724) 4.
Geneviève BOUCHER et Barthélémy NORMANDIN (1748 à Kamouraska) 5.
Zacharie NORMANDIN et Marie-Anne OUELLET (1773 à Kamouraska) 6.
Marie-Anne NORMANDIN et Louis-Amable PARENT (1809 à Kamouraska) 7.
Louis PARENT et Louise-Élisabeth CÔTÉ (1844 à Trois-Pistoles) 8.
Louis PARENT et Marie LAVOIE (1900 à Trois-Pistoles) 9.
Charles-Eugène PARENT Je
suis de la neuvième génération de Jean-Galleran Boucher. Dans
cette lignée, Mgr Parent est aussi de la neuvième génération. Il y
est donc mon petit cousin du 9 au 9. Voici
une lignée d’ancêtres du côté de ma mère : 1.
René OUELLET et Anne RIVET (1666 à Québec) 2.
Mathurin OUELLET et Angélique LEBEL (1691 à Rivière-Ouelle) 3.
Jean-Baptiste OUELLET et Marie-Geneviève TARDIF (1735 à Kamouraska) 4.
Marie-Anne OUELLET et Zacharie NORMANDIN (1773 à Kamouraska) 5.
Marie-Anne NORMANDIN et Louis-Amable PARENT (1809 à Kamouraska 6.
Louis PARENT et Louise-Élisabeth CÔTÉ (1844 à Trois-Pistoles) 7.
Louis PARENT et Marie LAVOIE (1900 à Trois-Pistoles) 8.
Charles-Eugène PARENT Je suis de la 11e génération de René Ouellet. Dans cette lignée, Mgr Parent est de la huitième génération. Il y est donc mon petit cousin du 8 au 11. |
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# 738
6 août 2014 Zacharie
Cloutier (1590-1677) Zacharie
Cloutier, charpentier de métier, est un des premiers colonisateurs de
la Nouvelle-France. Tout comme Jean Guyon, en 1634, il reçut de Robert
Giffard 1000 arpents de terre en bois à même la concession de ce
dernier qui comprenait une lieue de front sur le fleuve et une lieue et
demie de profondeur à l’embouchure de la rivière Notre-Dame de
Beauport. Cloutier
est né en 1590 à Mortagne-au-Perche. En 1616, il a épousé Xainte
Dupont, de laquelle il eut six enfants nés en France entre 1617 et
1632. En
1634, à l’âge de 44 ans, Zacharie Cloutier émigra au Canada avec sa
famille. Une trentaine de colons
étaient du voyage dont Jean Guyon, Jean Juchereau, les frères
Marin et Gaspard Boucher, Thomas Giroux, Noël Langlois et un deuxième
Jean Guyon. À l’article 159, j’ai établi que
Marin Boucher était un de mes ancêtres. En
1652, Cloutier reçut une seigneurie à Château-Richer. Il est y décédé
en 1677, à l’âge de 87 ans, alors que la colonie comptait 9000
habitants. Son épouse est décédée trois ans plus tard à l’âge de
84 ans. On
dit qu’une grande majorité des Québécois de souche ont cet homme
dans leur arbre généalogique. Parmi mes milliers d’ancêtres,
j’indique une lignée du côté de mon père et une autre du côté de
ma mère. Voici ces ancêtres du côté de mon père avec la date
et le lieu de leur mariage : 1.
Zacharie CLOUTIER et Xainte DUPONT (1616 à Mortagne-au-Perche) 2.
Zacharie CLOUTIER et Madeleine ÉMARD (1648 à La Rochelle) 3.
René CLOUTIER et Marie-Élisabeth LEBLANC (1672 à Beauport) 4.
Jean-Baptiste CLOUTIER et Marie-Anne GERBERT (1706 à Cap Saint-Ignace) 5.
Geneviève CLOUTIER et Jean-François THIBAULT (1736 à l’Islet-sur-Mer)
6. Pélagie-Euphrosine THIBAULT et Isidore BOUCHER (1788 à Rivière-Ouelle) 7.
Isidore BOUCHER et Marie-Anne DARGENCOURT (1807 à Rivière-Ouelle) 8.
Octave BOUCHER et Adélaïde DUMONT (1854 à Kamouraska) 9.
Élise BOUCHER et Théophile JEAN (1893 à Saint-Mathieu) 10.
Edmond JEAN et Laure THÉBERGE (1932 à Saint-Mathieu) 11.
Mes frères et sœurs dont je suis Je
suis de la 11e génération de Zacharie Cloutier dans cette
lignée. Voici
une lignée qui remonte à Cloutier du côté de ma mère : 1.
Zacharie CLOUTIER et Xainte DUPONT (1616 à Mortagne-au-Perche) 2.
Zacharie CLOUTIER et Madeleine ÉMARD (1648 à La Rochelle) 3.
Marie CLOUTIER et Jean GRAVEL (1684 à Château-Richer) 4.
Agnès GRAVEL et Pierre THIBAULT (1709 à Château-Richer) 5.
Angélique THIBAULT et Joseph BÉRUBÉ (1746 à Rivière-Ouelle) 6.
Pierre BÉRUBÉ et Catherine HUDON (1779 à Rivière-Ouelle) 7.
Joseph BÉRUBÉ et Adélaïde RIOUX (1821 à Trois-Pistoles) 8.
Euphrosine BÉRUBÉ et Vital ROUSSEAU (1848 à Trois-Pistoles) 9.
Rose ROUSSEAU et Alfred THÉBERGE (1878 à Saint-Mathieu) 10.
Émile THÉBERGE et Marie-Luce OUELLET (1905 à Saint-Mathieu) 11.
Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu) 12.
Mes frères et sœurs dont je suis Je
suis de la 12e génération de Zacharie Cloutier dans cette
lignée. Zacharie
Cloutier est l’ancêtre de Céline Dion, Madonna, Angelina Jolie et
Camilla, la duchesse de Cornouailles. Il signait d’un dessin en forme
de hache. |
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# 717
30 juillet 2014 Marin
Boucher (1587-1671) La
mère de mon père s’appelait Élise Boucher. L’ancêtre Boucher qui
s’est implanté le premier en Nouvelle-France est Marin. Son arrière-grand-père
était Jehan Boucher, marié à Jehanne Bournier. Son grand-père était
Jean Boucher, marié à Jeanne Mercier. Son père était Jacques
Boucher, marié à Françoise Paigne. Marin Boucher avait une sœur,
Jeanne, et deux frères, Pierre et Gaspard. Marin
Boucher naquit à Mortagne-au-Perche vers 1587. En 1611, il épousa
Julienne Baril de laquelle il eut sept enfants : François, Nicole,
Jehan, Louise, Étiennette, Charlotte et Marie. Son épouse décéda en
1627 au Perche. En 1629, alors qu’il avait 42 ans, Marin Boucher épousa
une jeune fille de 25 ans, Perrine Mallet. Le couple eut sept enfants :
Jean-Galleran, Françoise, Pierre, Madeleine, Marie, Guillaume et
Louis-Marin. En
1634, Robert Giffard obtint des Cent-Associés une concession
seigneuriale en Nouvelle-France. Il concéda des lots à Jean Guyon et
à Zacharie Cloutier qui devinrent ses associés dans le recrutement de
Percherons. Parmi les premiers colons qui ont traversé l’océan, on
retrouve Marin Boucher, qui a alors 47 ans, et son frère Gaspard
Boucher, un menuisier, qui a 35 ans. C’est le premier mouvement de
colonisation vers la Nouvelle-France puisque les arrivants viennent avec
leur famille. Marin
Boucher mit le pied à Québec le 4 juin 1634. Il était accompagné de
sa nouvelle épouse, de son fils François, né du premier lit, qui
avait alors 17 ans et de deux autres fils du second lit, Louis-Marin, 4
ans, et Jean-Galleran, 1 an. Cette famille, comme toutes les autres, est
reçue à bras ouverts par Samuel de Champlain. Elles sont alors logées
dans le fort de Québec. Peu
après, la famille Boucher s'établit sur une terre de trois arpents de
front sur la rivière Saint-Charles, qui appartenait aux Récollets. Par
la suite, Marin loua un lot sur la terre des Jésuites à Beauport. En
1647, il vendit sa concession de la rivière Saint-Charles aux
Religieuses hospitalières pour la somme de 200 livres. Le 14 juin 1650,
il s’établit sur une terre à Château-Richer. C'est à cet endroit
qu'il décèdera en mars 1671. Il avait 84 ans. Son épouse finira ses
jours 16 ans plus tard, à l’âge de 83 ans. Champlain
a réservé un legs pour Marin Boucher. Dans son testament, il a écrit :
« Je donne à Marin, maçon demeurant vers la maison des pères récollets,
le dernier habit que j’ai fait faire de l’étoffe que j’ai prise
au magasin. » Ce qui fait dire aux historiens que Marin Boucher était
fort apprécié du fondateur de la Nouvelle-France qui est décédé en
1635, un an seulement après l’arrivée de la famille Boucher. En
effet, Marin Boucher fut un
membre important dans l'entourage de Samuel de Champlain à cause de son
expertise comme charpentier et maçon. Il
a d’ailleurs joué un rôle particulier dans la fondation de Beauport. Marin
Boucher, tout comme son frère Gaspard, a laissé des milliers de
descendants. Les descendants directs de la première génération sont
les familles Plante (de Françoise), Houle, Houde, Durocher, Desrochers,
Clair (de Madeleine), Godin (de Marie). Parmi les descendants de Marin,
on retrouve notamment Wilfrid Laurier qui fut Premier ministre du Canada
de 1896 à 1911. |
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#
696
23 juillet 2014 Thomas
Chapais (1858-1946) Thomas
Chapais est né à Saint-Denis, dans le comté de Kamouraska, le 23 mars 1858. Il fut
historien et journaliste. Il a écrit quatre ouvrages concernant les
intendants de la Nouvelle-France dont un sur Jean Talon. Il est aussi
l’auteur d’un livre sur le Marquis de Montcalm. Son œuvre la plus
importante est Cours
d'histoire du Canada,
1760-1867, en 8 volumes. J’ai
plusieurs ascendances communes avec cet homme. J’en donne trois avec
la date et le lieu du mariage. Lignée
des Boucher 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Pierre BOUCHER et Marie ST-DENIS (1663 à Château-Richer) 3.
Pierre BOUCHER et Madeleine DANCOSSE (1697 à Rivière-Ouelle) 4.
Joseph BOUCHER et
Madeleine-Salomée FORTIN (1745 à Cap Saint-Ignace) 5.
Geneviève BOUCHER
et Charles-Louis CHAPAIS (1775 à Rivière-Ouelle) 6.
Charles CHAPAIS et Julienne OUELLET (1811 à Rivière-Ouelle) 7.
Jean-Charles CHAPAIS et
Henriette-Georgina DIONNE (1846 à Saint-Louis de Kamouraska) 8.
Thomas CHAPAIS Je
suis de la 10e génération
de Marin Boucher. Chapais est de la 8e génération. Il est donc mon
petit cousin du 8 au 10 dans cette lignée. Lignée
des Ouellet 1
Grégoire OUELLET et Anne-Josephte LIZOTTE (1696 à Rivière-Ouelle) 2.
François OUELLET et Félicité PINEL (1720 à Sainte-Anne de la Pocatière) 3.
Jean-Baptiste OUELLET et Catherine DUPÉRÉ (1751 à Sainte-Anne de la
Pocatière) 4.
André OUELLET et Julienne BOUCHER (1787 à Rivière-Ouelle)
5. Julienne OUELLET et Charles CHAPAIS (1811 à Rivière-Ouelle) 6.
Jean-Charles CHAPAIS et
Henriette-Georgina DIONNE (1846 à Saint-Louis de Kamouraska) 7.
Thomas CHAPAIS Je
suis de la 10e génération
de Grégoire Ouellet. Chapais est de la 7e génération. Il est donc mon
petit cousin du 7 au 10 dans cette lignée. Lignée
des Dionne 1.
Jean-Baptiste DIONNE et Marie-Madeleine MICHAUD (1727) 2.
Alexandre DIONNE et Madeleine MICHAUD (1761 à Kamouraska) 3.
Amable DIONNE et Catherine PERREAULT (1811 à Rivière-Ouelle) 4.
Henriette-Georgina DIONNE et Jean-Charles
CHAPAIS (1846 à Saint-Louis de Kamouraska) 5.
Thomas CHAPAIS Je
suis de la 7e génération
de Jean-Baptiste Dionne. Chapais est de la 5e
génération. Il est donc mon petit cousin du 5 au 7 dans cette lignée. Thomas Chapais est décédé le 15 juillet 1946 à l’âge de 88 ans. Il avait été nommé Sir par le roi Georges V. |
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# 678
17 juillet 2014 Un
chanteur dans la famille Daniel
Boucher est un auteur-compositeur-interprète né à Montréal en 1971.
Une de ses ascendances est du côté de ma grand-mère paternelle
Élise Boucher. Voici les ancêtres de Daniel Boucher du côté de son père
avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Pierre BOUCHER et Marie-Anne MICHAUD (1695 à Rivière-Ouelle) 3.
Michel BOUCHER et Marguerite CHAREST (1735 à Kamouraska) 4.
Antoine BOUCHER et Marie-Thérèse RIOUX (1776 à Kamouraska) 5.
Eustache BOUCHER et Marguerite-Céleste DUBÉ (1807 à Trois-Pistoles) 6.
Antoine BOUCHER et Sophie MICHAUD (1841 à Trois-Pistoles) 7.
Samuel BOUCHER et Célanire BERNIER (1876 à Saint-Fabien de Rimouski) 8.
Antoine BOUCHER et Rose-de-Lima PARENT (1901 à Saint-Gabriel de
Rimouski) 9.
Maurice BOUCHER et Henriette DROUIN (1950 à Mont-Louis, Gaspé) 10.
Gaétan BOUCHER et Jacqueline GRANGER (1971) 11.
Daniel BOUCHER Il
est intéressant de constater que Marie-Thérèse Rioux était la
petite-fille de Nicolas Rioux (1680-1756), le premier titulaire de la
seigneurie Nicolas-Rioux, et aussi de Pierre Lepage (1687-1754), fils de
René Lepage, le premier titulaire de la seigneurie de Rimouski. Par
ailleurs, Marguerite Charest était la petite-fille de René Ouellet, un
de mes ancêtres. Ce dernier fut un des premiers colons de Rivière-Ouelle
et un pionnier de Sainte-Anne de la Pocatière. Il est de plus l’ancêtre
des familles Ouellet d’Amérique. Les ancêtres de cette lignée ont vécu principalement dans le Bas-Saint-Laurent. Je suis de la 9e génération de Jean-Galleran Boucher. Daniel Boucher est de la 11e génération. Il est donc mon petit cousin du 9 au 11. |
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# 660
11 juillet 2014 François-Xavier
Garneau (1809-1866) François-Xavier
Garneau est né à Québec le 15 juin 1809. Il fut notaire, poète
et historien. À cette époque, peu de Canadiens français avait écrit
sur l’histoire du Québec. En
1839, Lord Durham publia un rapport dans lequel il brossait un portrait
de la situation en Amérique du Nord britannique. Il recommanda d’établir
la responsabilité ministérielle et de créer un seul gouvernement pour
le Bas-Canada (Québec) et le Haut-Canada (Ontario). Il souhaitait ainsi
l’union législative des deux Canadas qui serait dominée par la
minorité anglophone. Pour lui, les Canadiens français étaient « un
peuple sans histoire ni littérature ». Il les disait incultes et rétrogrades
et plaidait que ce serait leur rendre service que de les assimiler. En
1841, l’Acte d’Union entra en vigueur. Trois injustices y apparurent : 1.
L’anglais devient la seule langue officielle de la colonie. 2.
Le Bas-Canada doit partager 50-50 la dette du Haut-Canada qui représente
93 % de la dette totale. 3.
Les deux Canadas ont le même nombre de députés à l’assemblée législative,
alors que la population du Bas-Canada représente le double de celle du
Haut-Canada. Plus tard, quand la population du Haut-Canada deviendra supérieure
à celle du Bas-Canada, les Anglo-Saxons demanderont d’avoir une représentation
proportionnelle. La
situation politique motiva François-Xavier Garneau à poursuivre des
recherches historiques. Au mois d’août 1845, le premier volume de son
Histoire du Canada parut à Québec. D’autres volumes
suivront. Garneau est considéré comme notre premier historien
national. François-Xavier
Garneau épousa Marie-Esther Bilodeau le 25 août 1835 à Québec.
Le couple eut 10 enfants. Il est décédé en 1866. L’un
des ancêtres de Garneau est Antoine Dionne qui est d’ailleurs un de
mes ancêtres (article 333). Voici l’ascendance de
cet homme avec la date et le lieu de mariage : 1.
Antoine DIONNE et Catherine YVORY (1660 en France) 2.
Anne DIONNE et Bernard LAINE (1681) 3.
Charles LAINE et Marie-Jeanne MINGOU (1720 à Québec) 4.
Jean-Baptiste LAINE et Josepthe-Augustine GINGRAS (1746 à
Saint-Augustin-de-Desmaures) 5.
Geneviève LAINE et Jacques GARNEAU (1772 à Saint-Augustin-de-Desmaures) 6.
François-Xavier GARNEAU et Gertrude AMIOT (1808 à
Saint-Augustin-de-Desmaures) 7.
François-Xavier GARNEAU Je
suis de la 9e génération
d’Antoine Dionne. Garneau est de la 7e génération. Il est donc mon
petit cousin du 7 au 9. Il est décédé il y a 148 ans. |
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#
639
4 juillet 2014 Ci-dessous, on
trouve l’ascendance qui part des Théberge et s’arrête au pionnier
Marin Boucher. La date et le lieu du
mariage sont donnés. 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 3.
Marie BOUCHER et François AUTIN (1688 à Rivière-Ouelle) 4.
Jean-François AUTIN et Françoise-Claire LEVASSEUR (1719)
5. Catherine AUTIN et Louis HUDON (1747 à Kamouraska)
6. Catherine HUDON et Pierre BÉRUBÉ (1779 à Rivière-Ouelle) 7.
Joseph BÉRUBÉ et Adélaïde RIOUX (1821 à Trois-Pistoles) 8.
Euphrosine BÉRUBÉ et Vital ROUSSEAU (1848 à Trois-Pistoles) 9.
Rose ROUSSEAU et Alfred THÉBERGE (1878 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 10.
Émile THÉBERGE et Marie-Luce OUELLET (1905 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 11.
Laure THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 12. Mes
frères et sœurs dont je suis Je suis donc de la 10e génération de Marin Boucher du côté de mon père et de la 12e génération du côté de ma mère. Dans les faits, l’ancêtre le plus proche dans les deux lignées est Jean-Galleran Boucher. |
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# 618
27 juin 2014 Abraham
Martin (1589-1664) Quel
Québécois n’a pas foulé un jour les Plaines d’Abraham ? Si oui,
ce fut sûrement l’occasion de mettre ses pas dans ceux d’Abraham
Martin et de sa famille. En effet, Abraham Martin fut le premier défricheur
de la terre où se situent aujourd’hui les Plaines d’Abraham. Abraham
Martin dit l’Écossais, né vers 1589 à Dieppe (Normandie), est maître
pilote de métier. Il serait arrivé à Québec en 1619 avec son épouse.
En 1629, à la suite de la prise de Québec par les frères Kirke, le
couple retourne en France. Il revient en 1633 avec leur jeune fils
Charles. Abraham
Martin a d’abord été pilote royal du fleuve Saint-Laurent. Il
s’est installé sur une terre au centre de Québec. Avec Louis Hébert,
il a été l’un des premiers colons canadiens. En 1649, alors qu’il
a 60 ans, il est reconnu coupable de viol sur une huronne de 16 ans et
jeté en prison. Il est décédé
à Québec en 1664 à l’âge de 75 ans. Le
nom d’Abraham Martin est célèbre principalement à cause des Plaines
d’Abraham et de la Côte d’Abraham, un sentier qu’il empruntait
pour aller faire boire ses animaux vers la rivière Saint-Charles. On
dit qu’une grande majorité des Québécois de souche ont cet homme
dans leur arbre généalogique. Parmi mes milliers d’ancêtres, j’ai
réussi à trouver une lignée du côté de ma mère qui remonte à
Abraham Martin. Voici ces ancêtres avec la date et le lieu de leur
mariage : 1. Abraham
MARTIN et Marguerite LANGLOIS (1615 en France) 2.
Marguerite MARTIN et Étienne RACINE (1638 à Québec) 3. Louise
RACINE et Simon GUYON (1653 à Québec) 4. Marie
GUYON et Guillaume THIBAULT (1681 à Château-Richer) 5. Pierre
THIBAULT et Agnès GRAVEL (1709 à Château-Richer) 6. Angéline
THIBAULT et Joseph BÉRUBÉ (1746 à Rivière-Ouelle) 7. Pierre BÉRUBÉ
et Catherine HUDON (1779 à Rivière-Ouelle) 8. Joseph BÉRUBÉ
et Adélaïde RIOUX (1821 à Trois-Pistoles) 9.
Euphrosine BÉRUBÉ et Vital ROUSSEAU (1848 à Trois-Pistoles) 10. Rose
ROUSSEAU et Alfred THÉBERGE (1878 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 11. Émile
THÉBERGE et Marie-Luce OUELLET (1905 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 12. Laure
THÉBERGE et Edmond JEAN (1932 à Saint-Mathieu-de-Rioux) 13. Mes frères et sœurs
dont je suis Je suis de la 13e génération de ce pionnier. |
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#
597
20 juin 2014 Grand-père
Jean Théophile
Jean, mon grand-père, est né le 2 juillet 1845. Vous avez bien lu, il
est né en 1845, 22 ans avant la Confédération. La fusion du
Bas-Canada (Québec) et du Haut-Canada (Ontario) qui a donné le
Canada-Uni avait été faite quatre ans auparavant. Mon grand-père
aurait 169 ans le 2 juillet prochain. Qui, au Québec, peut affirmer que
son grand-père est né en 1845 ? Bien peu de personnes, je pense, à
part ses petits-enfants qui sont encore vivants. Le
24 avril 1893, à l’âge de presque 48 ans, Théophile Jean épousait
Élise Boucher qui avait 24 ans et 4 mois. Si mon grand-père n’avait
pas pris cette décision et si une jeune fille de 24 ans n’avait pas
accepté d’épouser un vieux garçon qui avait presque le double de
son âge, des centaines de personnes, dont moi, ne seraient pas là
aujourd’hui. Malgré
tout, cet homme du 19e siècle, a eu 11 enfants. •
Adélia, née le 22 avril 1894, soit un an moins deux jours après le
mariage •
Arthémise, née le 19 octobre 1895, soit un an et six mois après l’aînée •
Marguerite, née le 25 février 1897, soit un an et quatre mois plus
tard •
Antoinette, née le 10 mai 1899, soit deux ans et trois mois plus tard •
Rosanne, née le 26 juillet 1900, soit un an et deux mois plus tard •
Valentine, née le 25 janvier 1902, soit un an et six mois plus tard •
Antoine, né le 8 octobre 1903, soit un an et neuf mois plus tard •
Edmond, né le 2 mars 1905, soit un an et cinq mois plus tard •
Léo, né le 12 mai 1906, soit un an et deux mois plus tard •
Marie-Ange, née le 3 octobre 1908, soit deux ans et cinq mois plus tard •
Candide, née le 2 mai 1910, soit un an et sept mois plus tard Mon
grand-père Théophile Jean est décédé le 28 février 1922. Il avait
alors 76 ans et 8 mois. Ses descendants se trouvent partout au Québec
notamment en Abitibi, à Montréal, à Drummondville, à Sherbrooke, à
Québec, dans le Bas-Saint-Laurent et même aux États-Unis, car deux de
ses filles ont émigré à New-York dans leur jeunesse. Mon
père avait cinq ans quand sa mère est décédée. C’est ce qui
explique qu’il a été adopté. Théophile Jean a été inhumé le
jour même où mon père fêtait son 17e
anniversaire. Il n’a connu que deux de ses 46 petits-enfants : Réal
Brillant et Jean-Paul Brillant. Ne me demandez pas si j’ai connu mon grand-père Jean. Il est décédé il y a 92 ans. |
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#
570
11 juin 2014 Justin
Bieber Justin
Bieber est un jeune auteur-compositeur-interprète qui est de plus en
plus reconnu pour ses frasques. Il est né à London en Ontario en 1994.
Sa mère est une canadienne-française : ce qui explique ses
origines québécoises. Une
de ses ascendances est du côté de ma grand-mère paternelle Élise
Boucher. Voici les ancêtres de Justin Bieber du côté de sa mère avec
la date et le lieu de leur mariage : 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Marie BOUCHER et Charles GODIN (1656 à Québec) 3.
Françoise GODIN et Martin PAGE (1704 à L’Ange-Gardien) 4.
Angélique PAGE et Antoine GERMAIN (1742 à Donnacona) 5.
Antoine-François GERMAIN et Marie-Louise-Josephte JOBIN (1773 à La Pérade) 6.
Joseph GERMAIN et Marie-Josephte GENDRON (1807 à La Pérade) 7.
Louis GERMAIN et Marie THIFFAULT (1850 à St-Stanislas, Champlain) 8.
Louis GERMAIN et Éléonore DURAND (1875 à St-Tite, Champlain) 9.
Trefflé GERMAIN et Hermine-Arménie TOUSIGNANT (1900 à St-Stanislas,
Champlain) 10.
Roland GERMAIN et Germaine-Marie-Alphonsine BRETON (1932 à Roquemaure,
Abitibi) 11.
Estelle GERMAIN et Venant HENRY (Hearst) 12.
Diane HENRY et Michael MALLET (Timmins) 13.
Patricia-Lynn MALLET et Jeremy BIEBER (London) 14.
Justin BIEBER Les ancêtres de cette lignée ont vécu principalement dans la Mauricie. Je suis de la 10e génération de Marin Boucher. Justin Bieber est de la 14e génération. Il est donc mon petit cousin du 10 au 14. |
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# 549
4 juin 2014 Une
chanteuse dans la famille Isabelle
Boulay est une chanteuse québécoise native de Sainte-Félicité en
Gaspésie. En 1990, à 18 ans, elle connaît un grand succès au Festival
en chanson de Petite-Vallée. Par la suite, elle s’est illustrée
autant en Europe qu’au Québec. Une
des ascendances est du côté de ma grand-mère paternelle Élise
Boucher. Voici les ancêtres d’Isabelle du côté de son père avec la
date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Marie-Madeleine BOUCHER et Jean-François LAVOIE (1688 à Rivière-Ouelle) 3.
Joseph LAVOIE et Marie-Geneviève MIVILLE (1725) 4.
Joseph LAVOIE et Marie-Madeleine MICHAUD (1750 à La Pocatière) 5.
Josephte LAVOIE et Pierre-Bernard LÉVESQUE (1774 à Rivière-Ouelle) 6.
Geneviève LÉVESQUE et Claude LÉTOURNEAU (1813 à Kamouraska) 7.
Séverin LÉTOURNEAU et Adèle CHORET (1857 à Saint-Octave-de-Métis) 8.
Philadelphe LÉTOURNEAU et Mathilde SAINT-GELAIS (1884 à Les Méchins) 9.
Ludger LÉTOURNEAU et Angélina TURCOTTE (1909 à Sainte-Félicité) 10.
Wilbrod LÉTOURNEAU et Gabrielle LAVOIE (à Grosses-Roches) 11.
Jocelyne LÉTOURNEAU et Raymond BOULAY (à Sainte-Félicité) 12.
Isabelle BOULAY Les
ancêtres de cette lignée ont vécu dans le Bas-Saint-Laurent et en
Gaspésie. Je suis de la neuvième génération de Jean-Galleran
Boucher. Isabelle Boulay est de la 12e
génération. Elle est donc ma petite cousine du 9 au 12. Pierre Boucher, époux de Marie-Anne St-Denis, qui était le frère de Jean-Galleran est un ancêtre du côté de la grand-mère d’Isabelle Boulay, Gabrielle Lavoie. Par ailleurs, dans la lignée donnée, on retrouve les deux premiers ancêtres d’Émile Nelligan et d’Xavier Dolan de même que les six premiers ancêtres de Céline Dion. |
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#
534
30 mai 2014 Un
poète dans la famille Émile
Nelligan est né en 1879 à Montréal. Sa mère était native de
Rimouski. Il passait ses vacances à Cacouna où son père, qui était
inspecteur des postes à Montréal, avait une résidence d’été. En
1893, il commença ses études classiques mais sans succès. Il préférait
écrire. Doué d’un talent précoce, il publia son premier poème à
16 ans. Dans
son écriture, il est influencé par des poètes québécois comme Fréchette
et Crémazie, de même que par des poètes français comme Verlaine,
Rimbaud et Baudelaire. En
1899, il lit ses trois derniers poèmes en public puisqu’il sera
interné quelques mois plus tard. Sa réputation déborda alors les
cercles littéraires. En effet, lors de son internement à l’asile
Saint-Jean-Dieu, des enseignants amenaient des élèves pour le voir. Il
mourut en 1941. Il est considéré comme un des grands poètes québécois. Une
des ascendances d’Émile Nelligan est du côté de ma grand-mère
paternelle Élise Boucher. Voici les ancêtres d’Émile Nelligan avec
la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Marie-Madeleine BOUCHER et Jean-François LAVOIE (1688 à Rivière-Ouelle)
3. Marguerite LAVOIE et Louis-Philippe SARGENT (1718 à Rivière-Ouelle) 4.
Madeleine LANGLAIS et Joseph HUDON (1742 à Rivière-Ouelle) 5.
Pascal HUDON et Marie-Anne-Françoise HUDON (1779 à Rivière-Ouelle) 6.
Pascal HUDON et Victoire GAGNON (1813 à La Pocatière) 7.
Joseph-Magloire HUDON et Julie-Émélie MORISSET (1850 à St-Roch, Québec) 8.
Amanda-Émilie HUDON et David NELLIGAN (1875 à Rimouski) 9.
Émile NELLIGAN La
plupart des ancêtres de cette lignée ont vécu dans le
Bas-Saint-Laurent. Je suis de la neuvième génération de Jean-Galleran
Boucher. Émile Nelligan en est aussi de la neuvième génération.
Il est donc mon petit cousin du 9 au 9. On notera que, dans cette lignée, les trois premières générations sont les même que celles d’Xavier Dolan (voir article 478). Émile Nelligan est de la septième génération de Marguerite Lavoie et de Louis-Philippe Sargent. Xavier Dolan est de la 10e génération du couple. |
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#
516
24 mai 2014 Louis
Riel, mon petit cousin Louis
Riel est une figure importante dans l’histoire du Canada. Chez les
Canadiens français et les Métis, il est considéré comme un patriote.
Chez les autres, c’est un renégat. Louis Riel est un Métis qui est né
en 1844 à Saint-Boniface au Manitoba. Il a étudié au Séminaire de
Montréal qui était alors dirigé par les Sulpiciens. Ayant abandonné
ses études, il travailla dans un bureau d’avocats. Il signa un
contrat de mariage avec une Montréalaise, mais la belle-famille s’y
opposa en raison du fait qu’il était Métis. En
1869, le gouvernement canadien voulait chasser les Métis de leurs
terres au Manitoba. Louis Riel dirigea la résistance qui a permis la
constitution de la province du Manitoba en 1870. En 1884, alors que Riel
enseignait au Montana (USA), des Métis de la Saskatchewan, ayant les mêmes
démêlés avec le gouvernement canadien, vinrent lui demander son aide.
Une nouvelle résistance prit forme. L’armée canadienne
intervint. Les Métis furent défaits et Riel fut accusé de trahison.
Après un procès controversé, il fut reconnu coupable. Il fut exécuté
le 16 novembre 1885. Je
ne vois plus Louis Riel de la même façon depuis que j’ai découvert
que le sang qui circulait dans ses veines provenait, quoiqu’en infime
partie, de la même souche que la mienne. En effet, une ascendance est
du côté de ma grand-mère paternelle Élise Boucher. Voici les ancêtres
de Louis Riel avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Marin BOUCHER et Julienne BARIL (1611 à Mortagne-au-Perche) 2.
François BOUCHER et Florence GAREMAN (1641 à Québec) 3.
Charles BOUCHER et Marguerite-Agnès PELLETIER (1685 à Sorel) 4.
François BOUCHER et Geneviève DELBEC (1712 à Sorel) 5.
Joseph BOUCHER et Marie-Judith CHARRON (1762 à Berthier) 6.
Louis BOUCHER et Inconnue CHIPEWAN (1785 à La Crosse, Saskatchewan) 7.
Marguerite BOUCHER et Jean-Baptiste RIEL (1812 en Saskatchewan) 8.
Louis RIEL et Julie LAGIMODIERE (1844 à Saint-Boniface, Manitoba) 9.
Louis RIEL Je
suis de la 10e génération de Marin Boucher. Louis Riel
est de la 9e génération.
Il est donc mon petit cousin du 9 au 10. |
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# 478
10 mai 2014 Un
cinéaste dans la famille Xavier
Dolan est un jeune cinéaste québécois. Il a réalisé notamment les
films J’ai tué ma mère, Les
Amours imaginaires et Tom à
la ferme. Un de nos ancêtres communs est Jean-Galleran Boucher qui
est né le 16 février 1633 à Mortagne-au-Perche en France. Il a
probablement émigré au Québec en 1634 à l’âge d’un an alors que
son père Marin Boucher et son oncle Gaspard Boucher firent la traversée
de l’Atlantique. Marin et Gaspard furent parmi les premiers colons
canadiens. Jean-Galleran est décédé le 28 mars 1714 à l’âge de 81
ans. Une
des ascendances est du côté de ma grand-mère paternelle Élise
Boucher. Voici les ancêtres d’Xavier avec la date et le lieu de leur
mariage : 1.
Jean-Galleran BOUCHER et Marie LECLERC (1661 à Château-Richer) 2.
Marie-Madeleine BOUCHER et Jean-François LAVOIE (1688 à Rivière-Ouelle) 3.
Marguerite LAVOIE et Louis-Philippe-Daniel SARGENT (1718 à Rivière-Ouelle) 4.
Marguerite LANGLAIS et Jean-Baptiste GAGNON (1736 à Rivière-Ouelle) 5.
Marie-Louise GAGNON et André OUELLET (1758 à Rivière-Ouelle) 6.
Prisque Noël OUELLET et Marie-Claire DION (1806 à Cap-Saint-Ignace) 7.
Damase Prisque OUELLET et Flavie BERNIER (1850 à Cap-Saint-Ignace) 8.
Marie-Amanda OUELLET et Elzéar MÉTHOT (1890 à Québec) 9.
Joseph Wilfrid Eutrope MÉTHOT et Bertha Béatrice ROBIN (1928 à
Montmagny) 10.
Rolande MÉTHOT et Louis Paul DOLAN (1955 à Montmagny) 11.
Geneviève Béatrice DOLAN et Manuel TADROS (1985 à Longueuil) 12.
Xavier DOLAN La
plupart des ancêtres de cette lignée ont vécu dans le
Bas-Saint-Laurent. Je suis de la neuvième génération de
Jean-Galleran Boucher. Xavier Dolan est de la 12e
génération. Il est donc mon petit cousin du 9 au 12. Par ailleurs,
nous avons plusieurs autres ancêtres communs. Un des ancêtres d’Xavier Dolan, Louis-Philippe Sargent, est né au Maine en août 1699. Il a été enlevé par les Abénaquis lors de l’attaque de Worcester au Massachusetts et a été racheté par le Gouverneur général de la Nouvelle-France, Philippe de Rigaud de Vaudreuil. Ce dernier l’a fait baptiser en 1707 sous le nom de Louis-Philippe Sargent. Il est l'ancêtre des Langlais. |
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#
455
28 avril 2014 Marie-Anne
Faye J’avais
11 ans. Un soir, un cultivateur du rang est venu visiter mon père. Il
nous a parlé d’un de ses cousins qui avait adopté un bâtard. Il a
prononcé ce mot avec tellement de mépris et de haine que j’en ai frémi.
Je savais qu’un bâtard était un enfant né hors mariage ; mais je ne
comprenais pas qu’on puisse avoir autant d’aversion pour un tel
enfant. En fin de compte, il n’était responsable de rien. Dans
l’histoire du Québec, l’un des cas les plus célèbres de
naissances hors mariage est celui de Marie-Anne Faye qui a eu cinq
enfants naturels de pères différents, dont un enfant né d’un de mes
ancêtres. Voici sa feuille de route : Marie-Anne
Faye naît le 30 juin 1678 à Charlesbourg. Elle est la fille de Pierre
Faye et de Marie Chauvet. * * * Certains
généalogistes prétendent qu’en 1699, Marie-Anne Faye avait épousé
Pierre Jean. Je ne crois pas qu’il y eut mariage. On n’a pas la date
du contrat de mariage. Le patronyme de l’enfant est Faye et non Jean.
Le baptême a eu lieu presque trois mois après la naissance. Une chose
semble certaine, l’enfant a été adoptée par Pierre Jean et
Madeleine Prinseau dont le mariage a été célébré le 1er
juin 1700, soit un mois et demi après le baptême. * Quatre
ans plus tard, soit le 2 novembre 1705, Marie-Anne Faye épouse Jean
Roche dit Desrochers à Montréal. Cet homme avait eu un enfant naturel
de Marguerite Mousseau, Marie-Angélique, née le 1 août 1704 à Sorel.
Marie-Anne et Jean ont eu au moins un enfant ensemble. Jean Roche décède
le 11 juillet 1717 à l’âge de 40 ans. * Je pense que Marie-Anne Faye mériterait d’être décorée de cinq étoiles pour son exploit. |
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# 438
22 avril 2014 Un
cardinal dans la famille Le
premier Ouellet à s’établir au Québec est René Ouellet. J’en ai
parlé à l’article 272. Le cardinal Marc Ouellet
et moi-même avons un ancêtre commun. Il s’agit du petit-fils de René,
Joseph Ouellet. De
mon côté, cette ascendance passe par Marie-Luce Ouellet qui était
l’épouse de mon grand-père Émile Théberge. Voici les ancêtres de
Marc Ouellet avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Joseph Ouellet et Madeleine
Bouchard (Kamouraska en
1720) 2.
Jean-François Ouellet et Madeleine
Migneault (La Pocatière en 1748) 3.
Joseph-Clément Ouellet et Geneviève
Pelletier (La Pocatière en 1780) 4.
Joseph-Marie Ouellet et Marie
Levasseur (Kamouraska en 1804) 5.
Joseph Ouellet et Marie-Bonne
Paradis (Kamouraska en 1829) 6.
Achille Ouellet et Marguerite
Daigneau (Hébertville en 1855) 7.
Louis Ouellet et Marie Ouellet (Ottawa en 1887) 8.
Eugène Ouellet et Marie
Tremblay (Baie-Saint-Paul en 1909) 9.
Pierre Ouellet et Graziella
Michaud (La Motte en 1941) 10.
Marc Ouellet À
partir de la sixième génération de Marc Ouellet, ses ancêtres se
sont dirigés vers l’ouest tandis que les miens ont opté pour
l’est. Personnellement, je suis de la huitième génération de Joseph
Ouellet. Le cardinal Ouellet est de la dixième génération. Il
est donc mon petit cousin du 8 au 10. En 1968, Marc Ouellet est ordonné prêtre pour le diocèse d’Amos. En 1972, il décide de s’agréger à la Compagnie de St-Sulpice, devenant ainsi un prêtre sulpicien. Lors du dernier conclave, il a fait partie d’une liste des cardinaux ayant la possibilité d’être élu pape. |
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421
15 avril 2014 Les sœurs
Dionne ont vécu une enfance difficile à cause de l’exploitation
qu’elles ont dû subir. Elles sont même devenues des filles du «roi»
quand le gouvernement de l’Ontario les retira à leurs parents et les
déclara pupilles de la Couronne jusqu’à l’âge de 18 ans.
Toutefois, le gouvernement les exploita à son tour. On raconte que
jusqu’à 6000 personnes par jour venaient les voir jouer sur une
galerie d’observation conçue à cet effet. Les sœurs Dionne générèrent
au moins 51 millions de dollars de revenu touristique à l’Ontario. Avec les
quintuplées Dionne, j’ai au moins un ancêtre commun : Jean
Dionne. Ce dernier était le fils d’Antoine Dionne, un Français qui
est arrivé au Québec vers 1661. Antoine Dionne a épousé Catherine
Yvory, elle aussi née en France. Cette
ascendance passe par l’épouse de mon arrière-grand-père Melchior
Jean : Élisabeth Dionne. Voici les ancêtres des quintuplées
Dionne avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean Dionne et Marie-Charlotte
Migneault (Montmorency en 1694) 2.
Antoine Dionne et Marie-Anne
Lizotte (Sainte-Anne de la Pocatière en
1734) 3.
Antoine Dionne et Marie-Louise
Caron (Saint-Roch-des-Aulnaie en 1763) 4.
Antoine Dionne et Marie-Marthe
Morneau (Saint-Roch-des-Aulnaies en 1784) 5.
Antoine-Lucien Dionne et Élisabeth
Charpentier (Baie-du-Febvre en 1812) 6.
Joseph Dionne et Marguerite
Courchesne (Yamaska en 1834) 7.
Joseph Dionne et Henriette
Boisvert (Drummond en 1863) 8.
Charles-Olivier Dionne et Rosalie
Couture (Biddeford, USA en 1893) 9.
Oliva-Édouard Dionne et Elzire
Legros (Corbeil, Ontario en 1925) 10.
Les quintuplées Dionne Les ancêtres des quintuplées ont vécu au Québec jusqu’à la septième génération. Personnellement, je suis de la huitième génération de Jean Dionne. Les quintuplées sont de la dixième génération. Elles sont donc mes petites cousines du 8 au 10. |
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# 400
7 avril 2014 Céline
Dion, ma petite cousine Un
de nos ancêtres communs à Céline et à moi est Jean-Galleran Boucher.
Ce dernier est né le 16 février 1633 à Mortagne-au-Perche en France.
Il a probablement émigré au Québec en 1634 à l’âge d’un an
alors que son père Marin Boucher et son oncle Gaspard Boucher firent la
traversée de l’Atlantique. Marin et Gaspard furent parmi les premiers
colons canadiens. Jean-Galleran est décédé le 28 mars 1714 à l’âge
de 81 ans. Cette
ascendance est du côté de ma grand-mère paternelle Élise Boucher.
Voici les ancêtres de Céline avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jean-Galleran Boucher et Marie
Leclerc (1661 à Château Richer) 2.
Jean-François Lavoie et Marie-Madeleine
Boucher (1688 à Rivière-Ouelle) 3.
Joseph Lavoie et Marie-Geneviève
Miville (1725) 4.
Joseph Lavoie et Marie-Madeleine
Michaud (1750 à Sainte-Anne de la Pocatière) 5.
Pierre-Bernard Lévesque et Josephte
Lavoie (1774 à Rivière-Ouelle) 6.
Claude Létourneau et Geneviève
Lévesque (1813 à Kamouraska) 7.
Joseph Létourneau et Délima
Paradis (1831 à Rimouski) 8.
Joseph-Adélard Dion et Marcelline
Létourneau (1867 à
Sainte-Anne-des-Monts) 9.
Adélard Dion et Esther Lévesque (1893 à Sainte-Anne-des-Monts) 10.
Charles-Adélard Dion et Ernestine
Bariau (1922 aux Méchins) 11.
Adhémar Dion et Thérèse
Tanguay (1945 à La Tuque) 12.
Céline Dion Céline
est de la 12e génération à partir de
Jean-Galleran Boucher. Quant à moi, je suis de la 9e
génération. Céline est donc ma petite cousine du 9 au 12. Du côté
de mon grand-père paternel, un autre de nos ancêtres communs est
Antoine Dionne (1641-1721). Le cousinage est aussi du 9 au 12. Il existe aussi une autre lignée plus éloignée. Elle remonte à Jacques Boucher, le père de Marin. Dans ce cas, Céline est ma petite cousine du 11 au 14. |
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# 368
25 mars 2014 La même année,
Jean Rioux accompagné son fils aîné Nicolas, qui avait alors 13 ans,
vint prendre possession de sa nouvelle concession. Il devenait ainsi le
premier seigneur-colon des Trois-Pistoles. Les autres membres de la
famille vinrent les trouver en juin 1697. Quand ils furent
convenablement installés, ils firent venir leurs animaux de l’Île
d’Orléans. Le foin de grève qui poussait en abondance servait de
nourriture aux bêtes. Le couple Rioux/Leblond eut huit enfants. À la mort de
son père Jean, Nicolas prit le commandement et devint le deuxième
seigneur-colon des Trois-Pistoles. À partir de 1712 jusqu’en 1751, il
prit possession de territoires voisins. La seigneurie agrandie fut alors
officiellement connue sous le nom de seigneurie Nicolas-Rioux de
laquelle, d’ailleurs, Saint-Mathieu-de-Rioux fait partie. Le couple
Rioux/Asselin eut 11 enfants. Rioux est un
nom de famille purement québécois puisque, avant d’arriver en
Nouvelle-France, le patronyme de Jean était Roc’hiou. Parmi mes ancêtres,
on trouve Nicolas Rioux. Voici les détails de cette lignée : Génération
2. Louise Rioux Génération
3. Marie-Madeleine Saint-Laurent Génération
4. Françoise D’Amours Génération
5. Véronique Plourde Génération
6 : Melchior Jean Génération
7 : Théophile Jean Génération
8 : Edmond Jean Génération
9 Je suis donc de la neuvième génération de Nicolas Rioux. Ce personnage, à l’âge de 13 ans, a commencé à s’investir dans ce coin de pays qui s’est développé à force de bras et de courage. |
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# 360
22 mars 2014 Notre ancêtre
commun, à Hilary et à moi, est le Français Jacques Boucher, décédé
en 1611. Il a épousé Françoise Paigne. Leur fils Gaspard Boucher émigra
au Québec en 1634. Il était natif de Mortagne-au-Perche. Avec son frère
Marin, il fut l’un des premiers colons canadiens. Voici
les ancêtres d’Hilary Clinton avec la date et le lieu de leur mariage : 1.
Jacques Boucher et Françoise
Paigne 2.
Gaspard Boucher et Nicole
Lemaire (1622 en France) 3.
Madeleine Boucher et Urbain
Beaudry (1647 à Trois-Rivières) 4.
Jeanne Beaudry et Jacques
Duguay (1672 à Trois-Rivières) 5.
Marguerite Duguay et Jacques
Gaudet (1698 à Trois-Rivières) 6.
Jacques Gaudet et Marie-Louise
Beaudry (1743 à Détroit, USA) 7.
Joseph-Charles Gaudet et Jeanne-Marie
Pilet (1775, Windsor, Ontario) 8.
Catherine Gaudet et James
McDougall (1821, Windsor, Ontario) 9.
Mary-Anne-Frances McDougall et Antoine
Martin (1841, Windsor, Ontario) 10.
Delia Martin et Daniel Murray (1882, Détroit, USA) 11.
Della Murray et Edwin-John
Howell (1918, Chicago, USA) 12.
Dorothy-Emma Howell et Hugh-Ellsworth
Rodham (1942, USA) 13.
Hilary Clinton Le
lien de parenté se raffermit quand Jacques Gaudet épouse Marie-Louise
Beaudry, sa cousine du 4 au 4. Voici les détails : 3.
Madeleine Boucher et Urbain
Beaudry (1647 à Trois-Rivières) 4.
Guillaume Beaudry et Marie-Jeanne
Soulard (1682 à Québec) 5.
Jean-Baptiste Beaudry et Marie-Louise
Doyon (1721 à Québec) 6.
Jacques Gaudet et Marie-Louise
Beaudry (1743 à Détroit, USA) À part Jacques Boucher, les quatre premières générations des ancêtres d’Hilary ont vécu au Québec, soit pendant presqu’un siècle. On notera qu’un patronyme anglais apparaît seulement à la 8e génération. Hilary est de la 13e génération à partir de Jacques Boucher. Quant à moi, je suis de la 11e génération. Aussi, Hilary est ma petite cousine du 11 au 13. |
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# 333
12 mars 2014
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# 300
25 février 2014 Notre ancêtre commun est le Français Jacques Boucher décédé en 1611. Il a épousé Françoise Paigne. Leur fils Gaspard Boucher émigra au Québec en 1634. Il était natif de Mortagne-au-Perche. Avec son frère Marin, il fut l’un des premiers colons canadiens. Voici les ancêtres de Camilla avec la date et le lieu de leur mariage : 1. Jacques Boucher et Françoise Paigne 2. Gaspard Boucher et Nicole Lemaire (1622 en France) 3. Marie Boucher et Étienne Lafond (1645 à Québec) 4. Geneviève Lafond et Jean-Baptiste Trottier (1667 au Cap-de-la-Madeleine) 5. Marie Trottier et Louis Guillet dit Saint-Mars (1684 à la Pérade) 6. Élisabeth Guillet et Joseph Guyon dit Lemoine (1710 à Batiscan) 7. Marie-Josephte Guyon et Michel Coursol (1739 à Verchères) 8. Charlotte Coursol et Ephraim Jones (1779 à Montréal) 9. Sophia Jones et John Stuart (1803 à Kingston) 10. Mary-Elisabeth Stuart et Allen-Napier MacNab (1831 à Hamilton) 11. Sophia-Mary MacNab et William Keppel (1855 à Hamilton) 12. Hon. George Keppel et Alica-Frederica Edmunstone (1891 en Angleterre) 13. Sonia-Rosemary Keppel et Roland-Calvert Cubitt (1920 à Wellington, Angleterre) 14. Hon. Rosalind-Maud Cubitt et Bruce-Middleton-Hope Shand (à London, Angleterre) 15. Camilla-Rosemary Shand Dans l’article # 286, j’ai présenté Allen-Napier MacNab qui a été premier ministre du Canada-Uni de 1854 à 1856. À part Jacques Boucher, les six autres générations des ancêtres de Camilla ont vécu au Québec. Cette dernière est de la 15e génération à partir de Jacques Boucher. Quant à moi, je suis de la 11e génération. Aussi, Camilla est ma petite cousine du 11 au 15. |
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# 286
18 février 2014 Je vous parle de cet homme politique anglophone parce que son épouse est une descendante du Français Jacques Boucher, mon ancêtre du côté de ma grand-mère paternelle, Élise Boucher. Il n’est pas parmi mes ancêtres ; mais ses descendants sont mes petits cousins. Voici les ancêtres de son épouse Mary-Elisabeth Stuart avec la date et le lieu de leur mariage : Gaspard Boucher et Nicole Lemaire (1622 en France) Marie Boucher et Étienne Lafond (1645 à Québec) Geneviève Lafond et Jean-Baptiste Trottier (1667 au Cap-de-la Madeleine) Marie Trottier et Louis Guillet dit Saint-Mars (1684 à La Pérade) Élisabeth Guillet et Joseph Guyon dit Lemoine (1710 à Batiscan) Marie-Josephte Guyon et Michel Coursol (1739 à Verchères) Charlotte Coursol et Ephraim Jones (1779 à Montréal) Sophia Jones et John Stuart (1803 à Kingston) Mary-Elisabeth Stuart et Allen-Napier McNab (1831 à Hamilton) Les six premières générations ont vécu au Québec. Par la suite, on retrouve Ephraim Jones qui est né au Massachusett, John Stuart qui est né à New York et Mary-Elisabeth Stuart qui est née à Brockville (Ontario). On serait probablement surpris si on connaissait le nombre d’anglophones qui ont des racines canadiennes françaises puisqu’au 17e siècle la majorité des habitants du territoire actuel des États-Unis et du Canada étaient des francophones. |
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# 272
11 février 2014 À 31 ans, le 8 mars 1666, il épousa Anne Rivet à Notre-Dame de Québec. Cette fille du roi était la veuve de Grégoire Hisse. Les témoins du mariage de René et d’Anne étaient le gouverneur de Courcelle et le marquis de Prouville qui était considéré comme le vainqueur des Iroquois. L’intendant Jean Talon assistait à la cérémonie. Le couple s’établit à Sainte-Famille de l’Île d’Orléans. Trois fils naquirent : Abraham, Mathurin-René et Grégoire. D’ailleurs, ces trois fils marieront trois sœurs du nom de Lizotte. En 1673, René acheta une terre dans la paroisse Sainte-Famille, terre qu'il cultivait antérieurement. Il vendit cette terre 16 jours plus tard. Puis, il loua une autre terre sur la Côte de Beaupré. Le 5 avril 1675, son épouse décéda à l’âge de 33 ans. Un an plus tard, il fut accusé du meurtre. En effet, le 13 avril 1676, Martin Guérard (57 ans), un soldat français du régiment Carignan-Salières fut trouvé mort dans les glaces sur la grève de l’Île d’Orléans. On soupçonna l’épouse de Guérard (25 ans) et René Ouellet (41 ans) de l'avoir tué et d'avoir jeté son corps sur la grève pour faire croire à une noyade. Un procès hors de l’ordinaire en Nouvelle-France eut alors lieu. Durant les interrogatoires, une femme a déclaré que René Ouellet et l’épouse de la victime, Marie Boette, avaient projeté de se marier. Une autre femme avait constaté que René et Marie affichaient une très grande familiarité. René Ouellet convoitait, semble-t-il, la femme du disparu. Faute de preuves suffisantes, l'affaire fut classée. On présuma alors que Guérard était mort noyé. Toutefois, les gens furent étonnés de constater que la veuve Guérard n’assista pas au service funèbre. En 1678, trois ans après le décès d'Anne, René Ouellet décida de quitter l’Île. Il confia ses fils à des familles amies et alla cultiver la terre que le seigneur de Rivière-Ouelle lui avait concédée. Le 6 février 1679, il épousa Thérèse Mignot, veuve du laboureur Nicolas Lebel. Celle-ci avait hérité de son mari d’une terre aujourd’hui faisant partie de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Le couple s’y installa avec quatre autres colons. Douze ans plus tard, soit en 1690, les habitants de Rivière-Ouelle apprenaient que les Bostonnais avaient décidé d’agrandir leur territoire de chasse, principalement pour la fourrure, et qu’ils voulaient prendre Québec. Le 20 août 1690, la flotte s’arrêta devant Rivière-Ouelle. J’ai d’ailleurs raconté cet épisode dans l’article intitulé La bataille de Rivière-Ouelle. René Ouellet et ses trois fils étaient sur la ligne de feu pour empêcher les Bostonnais de les dépouiller. Ils repoussèrent vaillamment les envahisseurs. Il est considéré depuis ce temps comme un héros à l’instar de ses fils et d’une trentaine de ses compatriotes. René Ouellet réussit à survivre en vendant des lots de sa terre et mourut criblé de dettes. En 1721, alors qu’il vivait chez son fils Abraham, il légua à la paroisse de Sainte-Anne par testament un arpent de terre pour qu’éventuellement la future église y soit construite. René Ouellet décéda le 15 janvier 1722 à l’âge de 78 ans à Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Il est un des premiers colons de Rivière-Ouelle et un pionnier de Sainte-Anne. Il est de plus l’ancêtre des familles Ouellet d’Amérique. On se demande encore aujourd’hui comment il se fait qu’un fils issu d’une famille huppée de la France ait décidé de traverser l’Atlantique pour devenir aide-fermier puis fermier. |
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# 239
28 janvier 2014
Naît le 26 janvier 1644 à Paris en
France, fils de François Houallet, receveur général, et d’Isabelle Barré
de Saint-Jacques du Haut-Pas à Paris. Décède le 15 janvier 1722 à La
Pocatière.
Épouse en premières noces Anne
Rivet le 8 mars 1666 à Notre-Dame de Québec. Anne est la veuve de
Grégoire Hissé de Normandie en France. Elle est née vers 1642 et est
décédée le 5 avril 1675 à Château-Richer.
Épouse en deuxièmes noces Thérèse
Migneault le 6 février 1679 à Québec, fille de Jean Mignot dit Chatillon
et de Louise Cloutier. Elle est née le 9 septembre 1651 et est décédée
le 3 décembre 1728. Génération 2: Ouellet/Lizotte Épouse en 2e noces Madeleine Dubé le 24 août 1716. Génération 3 :
Ouellet/Bouchard Génération 4 : Ouellet/Morin Génération 5 : Ouellet/D’Amours Génération 6 : Ouellet/Rioux Épouse en 2e noces Charlotte Gagnon le 5 mars 1867 à Trois-Pistoles. Génération 7 :
Ouellet/Lévesque Génération 8 : Ouellet/Gravel Épouse en 2e noces Rose-Odila Vaillancourt le 19 février 1895 à Saint-Mathieu. Rose-Odila est la fille d’Olivier Vaillancourt et d’Hélène Émond. Elle décède à Saint-Mathieu le 29 juin 1949. Génération 9 :
Ouellet/Théberge Génération 10 : Théberge/Jean Génération 11 |
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# 224
21 janvier 2014 Elle fut la première québécoise de naissance à être canonisée. Elle a le même couple ancêtre que moi, soit Jacques Boucher et Françoise Paigne. Voici ses ancêtres dont la date de mariage est donnée : 1. Jacques Boucher et Françoise Paigne 2. Gaspard Boucher et Nicole Lemaire (1622) 3. Pierre Boucher, sieur de Grosbois et de Boucherville, et Jeanne Crevier (1652) 4. Marie-Ursule Boucher et René Gauthier, sieur de Varennes (1667) 5. Renée Gauthier et Christophe Dufrost de Lajemmerais (1701) 6. Marie-Marguerite Dufrost de Lajemmerais Marie-Marguerite Dufrost de Lajemmerais est connue sous le nom de Marguerite d’Youville, parce qu’elle a épousé François d’Youville en 1722. Mon premier ancêtre au Québec est Marin Boucher, le frère de Gaspard. Cette assertion est réfutée par certains historiens qui prétendent que Marin et Gaspard étaient plutôt des cousins. Après des recherches, j’ai finalement adopté la position de certains historiens comme le chanoine Alphonse Fortin qui a été un de mes professeurs d’histoire. Dans son livre Les grands noms oubliés de notre histoire, il affirme que les frères Marin et Gaspard Boucher sont les premiers colons venus du Perche et qu’ils sont arrivés en Nouvelle-France en 1634. Marguerite d’Youville est de la 6e génération à partir de Jacques Boucher; moi, je suis de la 11e génération. Voilà pourquoi, Marguerite d’Youville est ma petite cousine. Nous sommes parents du 6 au 11. Le fait d’avoir été sanctifié par l’Église ne revêt pas une grande importance aux yeux de nos contemporains. Ce qu’il faut retenir, c’est le soutien constant qu’elle a apporté aux malades, aux pauvres et aux déshérités, de même que le dévouement sans bornes qu’elle a manifesté auprès de la communauté de Ville-Marie, aujourd’hui Montréal. |
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# 207
14 janvier 2014 En France : Théberge/Pelchat Génération 1 au Québec :
Théberge/Tondreau Michel vint au Québec au milieu du 18e siècle avec son frère Louis. Ils sont considérés comme les souches des familles Théberge québécoises. Génération 2 :
Théberge/Garant Épouse en 2e noces Geneviève Chouinard le 23 février 1813 à Saint-Jean-Port-Joli. Génération 3 : Théberge/
St-Pierre Épouse en 2e noces Émérence St-Pierre le 10 février 1824 à l’Islet. Émérence est la fille d’Alexandre St-Pierre et de Geneviève Gendron. Génération
4 : Théberge/Rousseau Épouse en 2e noces Rose Rousseau le 15 octobre 1878 à Saint-Mathieu. Rose décède le 13 mai 1940. Elle est la fille de Vital Rousseau et d’Euphrosine Bérubé mariés le 6 mars 1848 à Trois-Pistoles. Génération 5:
Théberge/Ouellet Génération 6 : Théberge/Jean Génération 7 |
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# 192
7 janvier 2014 À peu près
tous les québécois de souche française ont un ou plusieurs liens de
parenté entre eux. Du côté de ma grand-mère paternelle Élise
Boucher et du grand-père maternel de Madonna, nous avons le même
couple ancêtre : Marin Boucher et Perrine Mallet. La lignée
correspondante de Madonna, avec la date et le lieu du mariage, est donnée
ci-dessous. 1.
Marin BOUCHER et Perrine MALLET (1629 en France) 2.
Pierre BOUCHER et Marie SAINT-DENIS (1663 à Château-Richer) 3.
Marie-Sainte BOUCHER et Jean-Baptiste MIGNEAULT (1689 à Château-Richer) 4.
Marie-Ursule MIGNEAULT et Augustin ÉMOND (1720 à Rivière-Ouelle) 5.
Marie-Madeleine ÉMOND et Antoine GAGNON (1752 à Rivière-Ouelle) 6.
Marie-Geneviève GAGNON et Henri-Marie GAUDREAU (1778 à Montmagny) 7.
Marie-Euphrosine GAUDREAU et Augustin FORTIN (1806 à Saint-Jean
Port-Joli) 8.
Augustin-Narcisse FORTIN et Félicité RIOUX (1847 à Saint-Simon de
Rimouski) 9.
Narcisse-Nelson FORTIN et Rose LAJOIE (1891 au Michigan) 10.
Willard-William FORTIN et Élise-Elsie FORTIN (1929 au Michigan) 11.
Madonna Louise FORTIN et Silvio-Anthony CICCONE (1955 au Michigan) 12.
Madonna Je suis de la
10e génération de Marin Boucher. Nous
sommes parents du 10 au 12. Ce qui est toutefois intéressant, c’est
que le grand-père du grand-père maternel de Madonna, Augustin-Narcisse
Fortin, a vécu à Saint-Simon de Rimouski où il était cultivateur. Il
y a épousé Félicité
Rioux le 9 février 1847. Sa date de naissance étant imprécise, on
croit qu’il avait 22 ans. En 1847, les habitants de Saint-Mathieu n’avaient pas d’église. Ils allaient aux offices religieux à Saint-Simon et leurs actes civils étaient inscrits dans les registres de Saint-Simon. Peut-on penser que la famille d’Augustin-Narcisse demeurait sur le territoire actuel de Saint-Mathieu ? Il est peu probable car, entre autres, son épouse, Félicité Rioux, a été inhumée à Saint-Simon le 26 mars 1874, les registres paroissiaux de Saint-Mathieu étant ouverts depuis 1866. Toutefois, il serait surprenant qu’Augustin-Narcisse n’ait jamais eu l’occasion de mettre les pieds à Saint-Mathieu, d’autant plus qu’il y a eu des familles Fortin dès le début de la paroisse. Quoi qu’il en soit, on peut penser qu’Augustin-Narcisse a connu Michel Jean, le grand-père de mon grand-père et premier colon de Saint-Mathieu qui y a vécu de 1830 à 1870, année de sa mort. Augustin-Narcisse a émigré au Michigan (États-Unis) entre 1881 et 1891. Il avait alors autour de 60 ans et accompagnait au moins un de ses quatre fils, Narcisse-Nelson, qui est l’arrière-grand-père de Madonna. |
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# 159
22 décembre 2013 Génération 1: Boucher/Mallet Marin part de Mortagne-au-Perche avec son frère Gaspard en 1635 et s’établit à la Rivière-Saint-Charles où il cultive les terres des Récollets. Il fut un des premiers colons venus de France à s’établir au Québec.
Génération 2 : Boucher/Leclerc
Génération 3 : Boucher/Mignier
Génération 4 : Boucher/Caron Épouse en 2e noces Marie-Louise Toussaint le 10 septembre 1753 à Sainte-Anne de la Pocatière. Marie-Louise est née le 28 novembre 1732 à Saint-Joachim de Montmorency et est décédée le 10 novembre 1775 à Rivière-Ouelle.
Génération 5 : Boucher/Thibault
Génération 6 : Boucher/Dargencourt
Génération 7 : Boucher/Dumont Épouse en 2e noces Adélaïde Dumont le 15 août 1854 à Saint-André de Kamouraska. Adélaïde est née vers 1834 et est décédée le 25 mai 1879. Épouse en 3e noces Élisabeth Bélanger le 10 août 1880 à Sainte-Françoise.
Génération 8 : Boucher/Jean
Génération 9 : Jean/Théberge
Génération 10 |
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# 111
1er décembre 2013 Génération 1 en France :
Jean/Joslain
Génération 2 en France : Jean/Hérault Vivien Jean est maréchal-ferrant à Petit-Fétilly. Vers 1647, il s’établit au petit hameau dénommé Chez Vivien Jean, dans la commune d’Écoyeux en Saintonge. La maison même vétuste de Vivien Jean existe encore à Écoyeux. On l’appelle la maison des Jean.
Génération 1 au Québec : Jean/Favreau Pierre Jean est le seul de sa famille à laisser intact le patronyme Jean à sa descendance. Au printemps de 1663, il s’embarque pour Québec. Soixante passagers sont jetés à la mer ; 75 sont déposés à Terre-Neuve. En 1664, le Conseil Souverain ordonne son retour en France. Il retourne à La Rochelle à l’automne 1664. Au printemps de l’année 1669, Pierre, Hélie, Vivien Jean signent un contrat d’engagement pour la Nouvelle-France. Pierre réside d’abord à Charlesbourg. Durant sa vie, il fréquente plus de 60 fois les notaires pour diverses transactions. Il loue et achète plusieurs terres. Il est traduit plusieurs fois en justice pour des dettes.
Génération 2 : Jean/Prinseau
Génération 3 : Jean/Mignier
Génération 4 : Jean/Gauvin
Génération 5 : Jean/Plourde Épouse en 2e noces Sophie Bergeron Damboise le 6 octobre 1827 à Cacouna. Sophie est née le 9 juin 1804 à l’Isle-Verte et est décédée le 5 avril 1871 à Saint-Mathieu. Elle la fille de Michel Bergeron et d’Anastasie Côté mariés le 25 juin 1798 à l’Isle-Verte. Michel Jean est le premier défricheur de Saint-Mathieu-de-Rioux. Il y arrive en 1830. Il est maçon de métier. Au début, il vit seul avec sa famille au milieu des bois n'ayant pour compagnons que trois Micmacs.
Génération 6 : Jean/Dionne
Génération 8 : Jean/Théberge
Génération 9 |
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# 075
14 novembre 2013 "Mon arrière-grand-père maternel était Théophile Jean. Selon l’histoire familiale, un de ses ancêtres était le fondateur de Saint-Mathieu. Théophile a marié Élise Boucher pendant qu’il était dans la quarantaine. Élise a mis au monde 11 enfants à partir des années 1890 avant de mourir à la suite d’un accouchement. Je pense que les filles sont allées vivre dans un couvent après sa mort. Ma grand-mère Marie Antoinette et sa sœur Marguerite ont émigré aux États-Unis, s’installant à New-York avant 1930. Leur famille comprend Edmond, Léo, Valentine (fille), Rosanne. Cette dernière a épousé Archie Perrin qui a possédé une salle de billard à Montréal. Ils avaient deux fils : Raymond et Claude. La famille comprend aussi Marie-Ange. Ma grand-mère Antoinette est décédée en 1973 avant que je sois assez vieille pour en apprendre plus. Elle allait souvent à Rimouski, Trois-Pistoles et Saint-Fabien pour voir sa famille. Elle disait que les quintuplées Dionne étaient ses cousines." Il est fort probable que, depuis ce temps, Marsha a obtenu les renseignements qu’elle désirait puisque Germaine Roy, une de mes cousines, a déjà été en contact avec elle. Dans le message de Marsha, il y a quelques coquilles. Cela est compréhensible puisqu’elle rapportait les propos de sa grand-mère. Toutefois, les renseignements qu’elle donne sont suffisamment pertinents pour la relier à la famille Théophile Jean sans l’ombre d’un doute. Je pense avoir vu Marsha une fois quand elle est venue faire une visite à mes parents avec sa mère et sa grand-mère. Si jamais Marsha Hodgson fait une recherche sur internet en regard de son nom et qu’elle découvre cet article, elle peut communiquer avec moi pour des renseignements additionnels. |
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# 033
7 octobre 2013 Elle et son mari ont chacun un ancêtre Jean. Ces deux ancêtres sont les frères Michel Jean pour elle et Régis Jean pour lui. Michel Jean fut le premier défricheur de Saint-Mathieu et Régis, le premier défricheur de Saint-Simon. Elle et son mari ont chacun un ancêtre Roy. Ces deux ancêtres sont les frères Benjamin Roy pour elle et Isaac Roy pour lui. Ces deux frères furent les premiers défricheurs de Saint-Fabien. |
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